mère et fille se font violer

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Big Dicks

Deborah Henderson ne suspectait pas quoi que ce soit d’inhabituel en arrivant chez elle la journée de travail terminée, elle ouvrit la porte de devant et pénétra dans sa maison.

– “Whap ….” quelque chose venait de la frapper sur la joue l’envoyant dinguer au sol.

Après quelques secondes d’étourdissement, elle tenta de se relever et retomba sur le ventre alors qu’une chaussure s’écrasait sur son dos.

Elle ouvrit la bouche pour crier, mais quelqu’un plaqua sa main sur ses lèvres alors qu’une voix autoritaire lui disait :

– “J’enlève ma main de ta bouche et je te laisse te relever si tu te comportes calmement!…….”

Le pied qui lui pesait sur le dos fut levé et il enleva sa main plaquée sur sa bouche.

Elle hocha frénétiquement la tête.

Avant même de se relever, elle constata avec effroi qu’une bande d’ados avait envahi son salon.

Elle fut encore plus effrayée en voyant Estelle, sa fille de 18 ans et demi, aux mains de l’un d’entre eux.

Le gars la tenait par les cheveux.

Avalant sa salive, elle chercha à s’approcher de sa fille, mais l’ado qui la tenait par les cheveux l’attira en arrière d’une brusque et douloureuse saccade et lui secoua la tête avec violence.

Deborah se figea de terreur et d’une voix tremblante, elle demanda humblement :

– “Qui … Qui êtes-vous?…… Que nous voulez vous?…..”

Et sans même attendre la réponse, elle ajouta :

– “Prenez ce que vous voulez, mais ne nous faites pas de mal!…..”

– “C’est bon la vieille, on fera ce qu’on veut!….” répliqua fermement le gars qui tenait Estelle.

– “Quant à savoir qui nous sommes, Je m’appelle Roland et ce sont mes potes … On se fait appeler les Rangers et on a un petit compte à régler avec la gentille Estelle!…..”

– “Un compte à régler?….” répéta Déborah avec incompréhension.

– “Oh que oui ….” reprit Roland

– “Tu sais que nous fréquentons le lycée … Tu pourrais même dire qu’on y règne!….. Et aujourd’hui ….J’ai demandé à ta fille de me faire quelque chose qu’aucune des filles du collège ne me refuse!……” et s’adressant à Estelle il ajouta :

– “Raconte à ta mère!……”

Elle commença :

– “Maman, il m’a retenue dans les gradins couverts et m’a demandé de ….. De ….

– SMACK!

Raymond venait de la gifler de sa main libre lui intimant :

– “Raconte lui tout!….”

Déborah cria alors :

– “Laissez la tranquille! …..”

– “‘Ferme ta gueule!….” lui cracha Roland énervé.

– “On ne t’as rien demandé!…..” Incapable d’argumenter devant une telle arrogance, Deborah se tut.

L’ado se retourna vers sa fille.

– “Raconte petite salope!….”

– “Il … Il ….. Il m’a dit … De … De ….Prendre son pénis dans ma bouche!……ET … Et …. Et de lui faire une fellation ….” balbutia finalement la pauvre fille éperdue.

Deborah se mordit les lèvres s’interdisant de traiter ce salaud d’immonde bâtard ou même pire encore.

– “Elle n’avait pas le temps de me faire ça correctement …. On n’avait pas le temps ….Aussi l’a-t-on suivie déterminé à terminer notre petite discussion ici!…..”

– “Mon Dieu!….” pensa Deborah au fond d’elle-même.

– “Ces monstres veulent violer ma petite chérie!……”

– “On avait pensé te ligoter …” continua-t-il impavide,

– “Mais puisque t’es encore foutrement baisable pour une vieille, je pense qu’on va t’inviter à t’amuser avec nous!……”

– “Je vous en prie ….” les implora-t-elle

– “Je ferai tout ce que vous voudrez, mais je vous en prie laissez ma fille tranquille … Ne lui faite pas de mal!…..”

– “On n’est pas ici pour marchander!….” lui répliqua durement Roland, puis, s’adressant à ses comparses :.

– “Amusez-vous avec la vieille pendant que j’apprends les bonne manières à sa fille!…..”

– “Maman!….” hurla Estelle alors que Roland la traînait par les cheveux vers une chambre.

– “Estelle!….” s’époumona à son tour Deborah paniquée par la tournure que prenait les événements.

Elle voulut se ruer au secours de sa fille, mais deux solides ados l’empoignèrent la forçant à demeurer en place.

Bien qu’elle se débatte, ils l’allongèrent de force au sol, ils lui déchirèrent son corsage et l’en dépouillèrent rudement, puis ils lui enlevèrent ses chaussures et roulèrent son pantalon sur ses chevilles.

Bien que ne portant plus que son soutien-gorge de dentelle et une petite culotte assortie, elle se défendait toujours. Ils lui maintenaient bras et jambes au sol, cuisses grandes écartées.

Un des ados lui arracha son soutien gorge, un autre son affriolant cache sexe.

Un troisième l’enfourcha sa grosse bite en main, la gifla sévèrement, lui intimant de se taire, de se calmer et de cesser de se débattre.

Etourdie, la joue la brûlant elle obéit misérablement.

– “Et maintenant ma salope, on va voir si tu vas goûter à nos bites, te faire ramoner par de vrais hommes!…..”

Dans la chambre, Roland avait jeté Estelle sur le lit et avait fondu sur elle. Elle kahramanmaraş escort avait bien tenté de résister, mais d’une main, il lui avait immobilisé les poignets au dessus de la tête tout en la giflant de l’autre jusqu’à ce qu’elle cesse de se démener.

– “Petite pute …. ” lui cracha-t-il à l’oreille

– “Quelle idée t-as t’il prit de me dire non?……Pas une des chiennes de ce lycée n’ignore qu’on ne doit jamais me dire non!…..”

– “Je …Je suis désolée …..” pleurnicha Estelle alors que, le gars allongé sur elle remontait son sweat-shirt sous les aisselles, et sortant un couteau de sa poche coupait son soutien-gorge l’en dépouillant ensuite.

– “Je vais faire ce que tu veux!…… Je vais te faire une fellation!….. Je le jure!….”

– “Par l’enfer … Tu vas me faire bien plus que ça!…..” et il saisit un de ses tendres tétons entre ses dents le mordant cruellement, elle hurla sa douleur.

Alors que Roland mâchouillait avec rudesse les mamelons de sa fille, Deborah se faisait labourer impitoyablement la chatte.

L’ado allongé sur elle la ramonait comme un étalon honore une jument, s’enfouissant si puissamment en elle qu’à chaque coup de boutoir il s’engouffrait jusqu’aux couilles dans son ventre tressautant de douleur.

Personne ne l’avait jamais baisée aussi brutalement que ces ados.

Un second ado glissa sa bite dans la paume de sa main droite, il lui intima :

– “Branle moi la vieille!….”

Un autre lui mit sa mentule dans son autre main et ajouta

– “Branle moi aussi!….” et la pauvre femme sans défense se retrouva à branler simultanément deux épaisses mentules alors qu’une troisième lui labourait frénétiquement la chatte.

Enfin le gars allongé sur elle éjacula dans sa fentine, les deux autres qu’elle branlait firent de même lui aspergeant le visage et la poitrine d’un épais foutre bien gras.

Elle resta étendue sur le sol dans une sorte de stupeur, sa chatte brûlante traversée de spasmes convulsifs.

– “Hey salope … Viens ici …” l’interpella soudain une voix dans son dos

– “Viens me sucer!…..”.

Lentement, péniblement, elle se releva, et comme ses jambes étaient trop faibles pour la porter, elle se traîna sur les genoux jusqu’à la chaise où était assis le gars qui venait de l’apostropher.

– “Sors ma bite et grouille toi!….” “lui intima-t-il rudement.

Puis comme elle descendait sa fermeture éclaire et empoignait sa virilité, il poursuivit :

– “Et si l’idée te venait de me mordre la queue, je découperai les tétons de ta fille!…..”

Deborah emboucha la grosse bite, la plupart de leurs agresseurs étaient des noirs où des latinos, tous très bien montés, et entama des va et viens lascifs sur la hampe raidie.

Alors qu’elle s’exécutait servilement, un des ados se posta dans son dos et lui écarta douloureusement les fesses.

Elle grimaça, sachant ce qui allait lui arriver, sachant par ailleurs qu’elle ne pourrait se soustraire à cet acte dégradant.

Dans la chambre, Estelle était maintenant entièrement nue, il avait déchiré le reste de ses vêtements et Roland la baisait aussi férocement que l’avait été sa malheureuse mère.

Estelle gémissait, pleurnichait, mais n’esquissait aucun geste de révolte.

Elle restait étendue sur le dos subissant ses violents assauts qu’elle savait ne pas pouvoir éviter.

Lorsqu’il se fut vidé en elle, il se releva et lui ordonna de se redresser.

Elle obéit et, sans rien dire, l’empoignant par les cheveux, il l’a ramena dans le salon.

La scène qui se présenta sous ses yeux la choqua encore plus que son propre viol. Sa mère à quatre pattes, sanglotante et tremblante comme une feuille suçait un des ados alors qu’un autre l’enculait sauvagement.

Lorsqu’ils eurent tous deux satisfaits leurs appétits, Roland les fit s’agenouiller cote à cote dans le centre de la pièce et tourna autour d’elle.

– “Hey la vieille …..” apostropha-t-il Deborah

– “Savais-tu que ta petite chérie n’était plus vierge!….”

La mère ne pipa pas un mot et Estelle riva ses yeux au sol, très gênée.

Soudain il la saisit par les cheveux et lui rabattit la tête en arrière. Puis il lui balança une sévère gifle sur les joues lui rappelant :

– “Je t’ai posé une question salope!……”

– “Non, non …..” soupira-t-elle “Je ne le savais pas!…..”

Se tournant vers ses comparses, il demanda :

– “Que va-t-on faire de ces deux salopes?….”

– “Je vous en prie …… Vous nous en avez déjà assez fait …. “pleurnicha Deborah.

SMACK.

Roland venait de coller à Estelle une gifle si violente qu’elle en tomba sur le dos.

Puis se tournant vers la mère, il l’informa :

– “Alors chienne, tu vas apprendre rapidement les règles?…… On ne t’a rien demandé!…. Alors tu fermes ta gueule!….Tu me comprends bien?…..”

– “Oui, oui ….. Je suis désolée ….. Mais je vous en prie ne faite plus de mal à ma petite fille ….”

L’un de ses comparses interrogea alors Roland :

– “L’as kastamonu escort tu enculée dans la chambre?…..”

Estelle horrifiée écarquilla les yeux comme des soucoupes, alors que Roland répondait que non il ne l’avait pas encore enculée.

– “Je suppose qu’elle est encore pucelle du trou du cul!….”

Soudain terrifiée par ce qui attendait sa fille, Deborah enlaça les chevilles de Roland, lui embrassant les pieds,le suppliant :

– “S’il vous plait ne lui faite pas ça ……. Je vous en prie … Servez vous encore de moi …… Je ferai tout ce que vous voudrez!….. Vous pourrez me prendre à plusieurs … En bouche, dans mon trou du cul … Comme vous voudrez!…..”

WHOP!

Une nouvelle claque venait de terrasser à nouveau Estelle.

– “Quand comptes tu apprendre les règles la vieille?….” l’interrogea-t-il ironiquement.

– “Personne ne t’as parlé!…… Pour nous tu n’es qu’une chatte qu’on utilise à notre gré!…… Juste un peu moins stupide qu’une pierre à ce que je vois!…… Mais il y a des règles que t dois observer désormais!…… Chaque fois que tu diras ou que tu feras quelque chose qui me déplait, on cognera sur ta fille … Et maintenant remets toi à genoux et reste calme!……”

En pleine déconfiture, Deborah s’exécuta misérablement.

Roland se retourna alors vers Estelle et lui intima :

– “A quatre pattes …”

Tremblante comme une feuille elle obtempéra sans dire un mot.

– “Qui veut passer en premier?…..”

– “Hey ….. Crois tu qu’elle se nettoie correctement le cul? ….. Je ne veux pas tremper ma bite dans un con merdeux!….. Dis à sa mère de lui nettoyer le trou du cul!….”

– “C’est une bonne idée ….” approuva Roland hilare. Et se tournant vers Deborah, il lui ordonna :

– “Lèche lui le trou du cul pour le nettoyer!….”

Secouée de hauts le coeur, larmoyante, elle rampa vers sa fille et parcourut servilement de la langue sa raie culière.

Bien que Roland estima que son trou du cul était propre, il lui saisit les cheveux et lui pressa le visage dans la raie culière de sa fille lui commandant :

– “Introduis la pointe de ta langue dans son trou du cul et nettoie lui le goulot!…..”

Une fois de plus elle obtempéra enfonçant sa langue aussi profondément qu’elle le put dans le rectum de sa fille, le léchant et le détrempant de sa salive.

Quelques minutes plus tard, l’un des ados prit place dans son dos :

– “Ca suffit maintenant ….. ” il la poussa de coté, s’approcha de la jouvencelle pleurant hystériquement et planta profondément son gros braquemart dans son anus récalcitrant.

Deborah, impuissante regardait sa fille se faire dépuceler brutalement le trou du cul.

Estelle hurla et gémit au grand amusement des ses agresseurs, son assaillant se mit à l’enculer sauvagement tenant des mèches de ses cheveux en main comme les rênes d’un cheval.

Lorsqu’il en eut terminé et se retira, Estelle s’effondra en avant, sanglotant misérablement alors que du foutre et du sang s’écoulait de son anus palpitant.

– “A mon tour …” dit l’un d’eux.

Mais Roland le stoppa dans son élan.

– “Plus tard …..” lui dit-il “…. Avant on va reluquer un bon broutage de gazon entre femmes!….. Allez la vieille allonge toi sur le sofa et écartes tes cuisses en grand!….. La gamine va te bouffer la chatte de tout son coeur!…….”.

Docilement, Deborah s’installa sur le sofa, cuisses grandes ouvertes, Roland se dirigea vers Estelle et lui colla un bon coup de pied aux fesses lui intimant :

– “Allez debout et va lécher la fente de ta mère!…..”

Sur ces mots il la saisit par les cheveux et la traîna jusqu’à sa mère, puis il lui pressa le visage dans le compas poila de sa génitrice et commanda :

– “Léche!….”

Les yeux d’Estelle s’emplirent de grosses larmes elle tendit la langue et commença à parcourir la fentine de sa mère de la langue. Roland lui pressa encore plus le visage dans le buisson touffu de sa mère lui ordonnant :

– “Fouille sa chatte dans tous ses replis …… Ouvre lui la chatte ….. Savoure son jus intime!….. Mâchonne lui le clito …..”

A l’arrière plan ses comparses chantonnaient en choeur :

– “Plus profond … Plus profond … Plus vite … Plus vite …..”

Deborah allongée sur le dos mêlait ses pleurs à ceux d’Estelle.

L’un des ados remarqua :

– “C’est pas la peine de laisser de belles grosses miches inemployées …” il s’approcha et se mit à jouer avec ses gros nibards et ses tétons dardés.

Un autre lui faisant tourner le visage sur le coté engouffra sa bite dans sa gorge et se mit à la baiser en bouche.

Peut être était ce la combinaison des caresses linguales de sa fille, de son pelotage de nichons et la pipe qu’elle pratiquait avec luxure, ou simplement le fait qu’elle soit très excitée, toujours est-il cela la rendit folle d’excitation et bientôt elle sentit qu’un intense orgasme allait la terrasser d’ici peu.

– “Oh mon Dieu non …… ” se dit-elle au fond d’elle même.

kayseri escort “Je vous en prie mon Dieu ne me faites pas jouir sous les yeux de ces porcs!….. Je vous en prie …..” mais rien n’y fit.

Elle se mit à se tordre et à gémir, puis son corps se tétanisa, elle écrasa son pubis contre les élèves de sa fille et enfin elle explosa submergée par un fulgurant orgasme.

Les ados se marraient comme des brutes à la vue du visage d’Estelle couvert de cyprine, les deux femmes pleuraient à gros sanglots, entièrement soumises au gré de leurs agresseurs.

Puis ils les disposèrent cote à cote sur le plancher puis un gang bang qui dura des heures commença alors.

Elles furent baisées à la chaîne de toutes les façons imaginables, elles avalèrent des litres de foutre, furent giflées, cognées à coups de poings, de pieds, leurs tétons furent torturés, et elles endurèrent encore bien d’autres sévices.

Plusieurs fois elles durent se mettre en 69 l’une sur l’autre, et à chaque fois, sous les commentaires salaces des assistants, Déborah jouit sous les caresses de la langue de sa fille.

Finalement elles se tinrent face au gang en entier qui venait de largement profiter de leurs charmes, Roland les informa alors :

– “Vous allez toutes deux avoir des contusions qui vont durer quelques jours, dans ton cas la vieille, tu peux prendre un congé maladie, mais quant à toi ma petite chérie, je veux te voir demain matin, en pleine forme à l’entrée du lycée, tu comprends ce que je te dis?…..”.

– “Oui ….” soupira-t-elle d’une voix misérable, hochant la tête en signe d’accord.

– “Personne ne doit entendre parler de votre aventure …… On reviendra faire la fête vendredi …. Vous vous préparerez toutes deux en conséquence!….”

Ils les quittèrent sur ces mots, dès qu’ils furent partis, Deborah se rua sur le téléphone, mais Estelle la stoppa dans son mouvement.

– “Que veux-tu faire maman?…… N’as tu pas entendu ce qu’ils ont dit!….

– “Ils sont loin maintenant ….” répliqua sa mère décidée à appeler la police.

Estelle secoua énergiquement sa tête

– “Non …… Tu n’as pas bien compris …… C’est eux qui dirigent le lycée ….. Même la principale, madame Morton a peur d’eux …… Elle et toutes les autres profs les paient chaque semaine pour être protégées et ils ont sauté la plupart des femmes du bahut …… Les rares femmes qui se sont plaintes de concert avec les membres de leurs familles ont eu de très graves accidents ….. Parfois même mortels!……”

– “Mais tu peux quitter le ville … “suggéra la pauvre mère atterrée.

– “Je vais t’envoyer vivre chez ton père!….”

Estelle secoua à nouveau la tête :

– “Leur bande a des contact avec tous les gangs du pays!….. On ne peut pas leur échapper …”

– “Si on ne peut pas leur échapper …. Que va-t-on faire?….”

Estelle baissa la tête :

– “On ne peut faire que ce qu’ils nous ont ordonné, il faut rester calme et faire la fête avec eux chaque vendredi soir……”

Et toutes deux entièrement nues, enlacées, elles se laissèrent aller à leur désespoir.

Deborah resta chez elle quelques jours, alors que servilement Estelle se rendait chaque jour au lycée.

A la vue de ses contusions, un de ses profs suspectant un abus sexuel parental l’envoya au bureau de madame Morton, la principale.

Avant même que la principale lui ait posé une première question, Roland débarqua sans frapper dans le bureau, il ne frappait à aucune porte dans le lycée, aucune ne lui était fermée au nez.

D’un mouvement du pouce il intima à Estelle de quitter la pièce. Madame Morton opina du chef et la lycéenne s’en alla.

Lorsqu’elle fut partie, il lui flanqua une sévère gifle au travers du visage et éructa :

– “N’aurais-tu pas oubliée de payer une partie de ton écot la semaine dernière!…..”

– “Je ferai mieux cette semaine … Je le jure!…..” l’assura-t-elle tremblante.

– “Tu ferais mieux!….” la menaça-t-il impitoyablement.

– “Sinon tu auras droit à une nouvelle session dans le vestiaire des filles!…”

Lorsqu’il partit, la pauvre femme frémit se rappelant le gang bang qu’elle avait subi entre leurs mains.

Les semaines suivantes, Deborah et Estelle offrirent leurs charmes aux “rangers” chaque vendredi soir.

Elles n’avaient même pas à se déshabiller, la mère et la fille les attendaient entièrement nues selon leurs ordres.

Un vendredi en fin d’après midi, en arrivant chez elle, Deborah ne trouva pas Estelle, seul Roland l’attendait.

– “Ta petite salope de fille ne rentrera pas avant dimanche, su tu y mets du tien bien sûr!….”

– “Que .. Que veux tu dire?…..” demanda-t-elle profondément inquiète.

– “Jusqu’ici tu t’es fait baiser gratuitement chaque vendredi soir, il est temps maintenant de gagner ta croûte, à partir de ce soir, chaque vendredi tu mettras des vêtements sexy et tu arpenteras le bitume tout le week-end ….. Dimanche matin, si tu me rapportes assez d’argent, tu reverras ta petite chérie …… Bien baisée bien sûr!….. A toi de te montrer une bonne gagneuse …. Si tu ne me rapportes pas assez, tu ne la reverras jamais plus!….. Et maintenant enfile cette tenue!….” lui dit il.

Servilement elle enfila une paire de bas, un porte jarretelles affriolant sans culotte, un chemisier entièrement ouvert sur un soutien-gorge pigeonnant.

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Une Famille Soumise à Des Voyous

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Tom 20ans

Léa (la cousine) 19ans

Laura (la sœur) 18ans

Lucas (le cousin) 18ans

Je m’appelle Tom. J’étais chez moi avec ma sœur, ma cousine et mon cousin. Nous habitons dans une cité de Paris. J’étais dans le salon tandis que les autres étaient dans leurs chambres, nos parents étaient partis en soirée et il était bientôt 22h.

J’entends la porte qui sonne et je me lève pour aller ouvrir, à peine ai-je ouvert la porte que 4 mecs poussent la porte et rentrent pas effraction. Le premier me met la main sur la bouche et m’empêche d’émettre le moindre bruit. Ils me poussent sur le canapé, me ligotent les mains et amènent le reste de ma famille…

Ma cousine pousse un cri strident et se débat dans les bras de son agresseur et ma sœur quant à elle ne dit rien apeurée et se laisse traînée dans le salon. Mon cousin est aussi amené de force, tous sont poussés sur le canapé et ligotés.

Le chef de la bande Mouloud que je connais très bien, s’approche de moi :

« Tu sais pourquoi on est là Tom?

Je ne réponds pas sachant très bien…

-Je veux que tu me donnes le fric que tu me dois!

-Je ne l’ai pas désolé.

Il me cri :

-600euro!!! Tu crois que tu vas me payer comment?

Je bredouille totalement confus.

Il tourne la tête pour regarder ma famille, ses 3 autres gars sont derrière et regardent silencieusement.

-C’est bon je crois que j’ai trouvé! Me lança-t-il avec un sourire malsain et vicieux. Écoute comme tu ne peux pas payer, tu vas devoir nous rembourser en nature…

Je lui lance un regard interrogatif.

-Toi et le reste de ta famille aller nous faire une petite gâterie me dit-il en rigolant. Pas vrai les gars? Vous avez envie de vous taper des petites bourges vous aussi? Et si vous vous rebellez ça va mal se passer…

Les autres racailles derrière sourissent et approuvent de la tête.

Un des gars s’approche de ma cousine et lui fait sauter les boutons de son décolleté sexy, je ne peux qu’assister horrifier de ce qui va se produire. Un autre ordonne à ma sœur de retiré son t-shirt et je la vois ravalé ses sanglots sachant très bien qu’elle y est obligée. Mon cousin regarde la scène d’un regard interdit.

Ma cousine et ma sœur sont maintenant en soutien-gorge, ma cousine a des formes de rêve avec un bon 90C et ma sœur est à peu près pareille mais avec une plus petite poitrine.

Une fois les 2 filles nues, Mouloud s’approche de ma cousine et lui enfile 2 doigts kuşadası escort directement dans sa chatte, elle ne réagit pas et reste debout droite ne voulant montrer aucune faiblesse à ses violeurs. Un de ses potes, Abdul, pousse ma sœur sur le canapé et sort sa bite qu’il présente à sa proie. Ma sœur regarde la bite bien droite devant ses yeux tandis que les 2 autres gars s’approchent pour lui triturer les seins.

Les filles se vont doigter et peloter sans douceur devant nos yeux à mon cousin et moi, malgré moi je sens ma bite durcir et se compresser dans mon pantalon, j’espère que personne ne l’a remarqué!

Ma cousine commence à montrer les premiers signes de faiblesse et se laisse aller à quelques gémissements, je la vois aller à l’avant des 3 doigts qui pénètrent son intimité. Mouloud s’en rend compte et crie triomphant :

-Elle mouille cette sale chienne!

-Elle aussi Mouloud, répond son pote en parlant de ma sœur, elle commence à être déchaînée!

Effectivement je vois ma sœur de 18 ans commencer à sucer avec application la bite de Abdul, il n’a même plus besoin de la forcer à le sucer elle dirige les va et vient elle-même…

Ma bite durcit encore plus et je commence avoir mal, je ne sais pas si mon cousin est dans la même situation mais je vois que son visage a du mal à contenir son excitation.

Ma cousine elle aussi est maintenant obligée de sucer une bite et on entend plus que les gémissements des 2 filles et les insultes des gars à leur encontre. Au bout d’un moment, Mouloud s’approche de mon cousin et voyant son expression totalement excitée lui enlève son short et son caleçon.

-Et regardez les gars, j’y crois pas il bande en regardant sa sœur et sa cousine faire les putes!

Les autres gars rigolent et Mouloud s’approche de moi et me retire mes vêtements aussi laissant apparaître mon sexe bien dressé. Les 4 hommes rigolent de plus belle tandis que les filles nous regardent choquée de voir que nous sommes excités par cette scène.

-On va les calmer cette famille de dégénéré, s’exclame Mouloud!

Il se dirige vers la cuisine et en ressort avec deux beaux concombres d’environ 30 centimètres, lui et ses amis nous détache moi et mon cousin, nous sommes positionnés à quatre pattes.

-Les filles chacun de vous aller enculer votre frère avec ce concombre, vous dilater bien leur cul et après vous vous déchaînez dedans!

Je regarde ma sœur et me disant elle kocaeli escort va faire ça quand même, mais je la vois attraper le concombre docilement et venir se placer derrière moi. Elle suce ses doigts et m’en enfonce un, puis deux, puis même trois. Quand je suis bien dilaté par l’excitation elle m’enfonce d’une traite le concombre, je crie de douleur, je sens une grande brûlure pendant bien 5 minutes mais cette brûlure laisse après place à une chaleurs et ma bite reprend de l’envergure. Je tourne ma tête et vois mon cousin entrain de gémir tandis que sa sœur le regard fou le pistonne avec le concombre, l’enfonçant jusqu’au bout chaque fois. Ma cousine de sa main libre se titille le clitoris et je vois ses cuisses qui sont trempées de son jus. Ma sœur aussi doit être dans le même état car j’arrive à entendre ses gémissements… Nos tortionnaires nous regardent en rigolant, se branlent et prenant des photos.

Après Mouloud s’approche de moi me présentant sa bite me demandant de la lui sucer, je refuse mais il me gifle, il me promet de recommencer et en pire si je n’obéis pas à ses ordres comme le font les filles. Je prends donc sa bite en bouche et commence à la sucer du mieux que je peux. Au bout de quelques secondes, sûrement beaucoup excité par la situation, il éjacule dans ma bouche et d’un regard sévère me force à avaler ce que je fais non sans dégoût.

Ils reprennent les filles et nous retire les concombres, les 2 filles doivent se mettre en position du ciseaux (c’est à dire face à face leurs chattes collées l’une à l’autre) et Mouloud va placer le concombre un bout dans chacune de leurs chattes. Les filles commencent après à bouger d’elles-mêmes et à s’enfoncer toutes seules sur le concombre, leurs chattes se frottant l’une à l’autre aussi.

Les mecs et nous, sommes tous fous d’excitation de voir ça et toutes les bites se dressent encore plus jusqu’à ce que Mouloud nous demande de nous remettre à 4 pattes mais le cul quasiment collé… Il va chercher le 2ème concombre et nous met un bout dans chacun de nos culs et nous oblige à nous enfoncer dessus. Ce que nous faisons de plus en plus vite comme s’il s’agissait d’une bite, je sens mes testicules tapés dans celle de mon cousin à chaque aller-retour et je commence à me branler d’une main tant l’excitation m’y oblige.

L’appartement est repli des cris de jouissance des filles qui doivent au moins avoir jouis 3 fois chacune, elles sont après obligé de sucer 2 bites. konya escort Mon cousin et moi continuons à nous enfoncer sur le concombre et le sol est déjà trempé de notre sperme après que nous nous sommes branlés, nous devons aussi sucer les 2 bites restantes. Les mecs éjaculent tous puis insatiable veulent prendre une fille par groupe de 2, ils se placent donc chacun dans le cul ou dans la chatte des filles qui acceptent sans broncher les bites dans leurs trous qui doivent être bien dilatés. Mon cousin et moi observons les groupes en nous branlant et en filmant (obligé par Mouloud qui veut avoir des images de la soirée). Les filles ne se contrôlent plus et je vais même entendre ma cousine demandée à ce qu’il aille plus vite tandis que ma sœur se triture les tétons pour se faire jouir plus vite.

« Regardez les pauvres, ils auraient bien besoin de se vider un peu les couilles non les filles? Demandent Mouloud.

-Allez sucez chacun votre cousin et faites les bien jouir!

Je m’approche de ma cousine sans réfléchir tant j’en ai envie, elle me regarde se demandant si tout ceci est vraiment bien puis je la vois abandonnée toute morale et me prendre en bouche. Elle me suce divinement bien tout en gémissant sous les assauts des 2 bites en elle, je tourne la tête et vois ma sœur sucée mon cousin en lui caressant les couilles de sa main. Nous ne tenons pas longtemps et éjaculons dans leurs bouches, sans rien leur demandée elles avalent la semence et recommence à crier leurs jouissances une fois la bouche vide. Nos tortionnaires ne finissent pas éjaculer dans leurs trous en les insultant une dernière fois, voyant que du sperme ressort de la chatte de ma sœur, Mouloud m’oblige à aller récupérer ce qu’il y a par terre mais aussi la semence dans sa chatte et son cul. Je m’applique donc à lécher ma sœur et je la vois gémir de plaisir, j’entends un grand cri et vois ma cousine qui a plaquée la tête de mon cousin sur sa chatte et qui jouis déversant un flot de cyprine dans sa bouche, voyant cela j’essaie de m’appliquer encore plus pour faire jouir ma sœur et elle finit par crier sa jouissance elle aussi déversant son jus dans ma bouche…

Nous nous relevons tous puis tandis que les gars se servent à boire et à manger pour reprendre des forces, les filles sont obligées de se léchées entre elles et commencent un magnifique 69 entre cousines. Décidant que les garçons ne devaient pas être en reste, Mouloud nous envoie sucer lui et ses potes pour les remettre en formes tandis qu’ils regardent le spectacle des filles.

Alors que tout ce petit monde s’amuse, on entend soudain le verrou de la porte se déverrouiller et la porte qui commence à s’ouvrir, entrent les parents de ma cousine et mon cousin accompagnés de leur grand berger allemand…

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La Reine de Glace Pt. 03

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3D Comix

Pt. 3. La Cérémonie

1.

Extérieurement, Marie Castillo avait l’air calme, mais intérieurement, elle luttait contre la panique. La journée avait été longue et éprouvante. Par moment, elle se sentait confuse et sur le bord de l’évanouissement. Elle combattait les larmes et une incontrôlable envie de se rouler en boule comme une petite fille en voyant la voiture qui ramenait sa mère à la maison. Sa sœur était partie il y a plus d’une heure et maintenant, elle restait seule.

Raphaël lui avait appris un peu plus tôt que son nouveau statut faisait en sorte qu’elle pourrait désormais vivre dans l’immense domaine des Da Silvas. Situé en Campagne, dans un coin isolé, la résidence du Parrain était impressionnante. L’immense terrain de la propriété était constitué de trois pavillons indépendants. Un pour Da Silva, un pour les invités et un pour le personnel. Le tout s’organisait autour d’une cour centrale munie d’une piscine, d’un tennis, d’une fontaine et d’un jardin aux fleurs exotiques et scintillantes. À l’extrémité du quadrilatère, on retrouvait une écurie dont le luxe aurait fait rougir bien des bourgeois. Au-delà de l’écurie, trente acres de prairies et de forêts défendus comme une forteresse.

Marie fut installée avec tout les honneurs et les attentions dans la maison des invités. Il aurait apparemment été indécent qu’elle vive sous le même toi que son futur mari. Elle pleura une partie de la nuit et tomba d’épuisement alors que le soleil se levait.

Tôt le lendemain matin, on lui apporta un petit déjeuner fort copieux et on lui annonça que ses affaires personnelles seraient là sous peu. Raphaël se présenta à sa porte un peu après midi. Il était accompagné de son oncle Alfonso. Celui-ci lui expliqua le fonctionnement et les règlements du domaine. Elle avait le loisir d’aller et de faire ce qui lui plaisait, mais elle ne pouvait avoir accès à la maison principale sans y avoir été invité. De plus, elle ne pouvait sortir du domaine seul. On l’amènerait visiter sa mère régulièrement. Marie appris avec consternation que ce serait désormais l’oncle Da Silva qui s’occuperait personnellement du bien être de Jeanne. Finalement, il annonça que le mariage aurait lieu le 26 mai prochain, dans plus de huit mois.

Rétrospectivement, cette période aura été plutôt agréable pour Marie. L’adaptation à ce nouvel environnement n’aura certes pas été facile, mais cette nouvelle vie avait des avantages. De un, sa chambre était superbe et donnait sur une grande pièce, mi-bibliothèque, mi-atelier parfaitement équipée. De deux, Marie a développé à cette époque une véritable passion pour l’équitation. Elle avait sa propre jument. Elle pouvait passer des heures à brosser, cajoler et monter l’animal. Et de trois, Raphaël Da Silva était toujours agréable avec elle. Son attitude n’avait rien à voir avec celle de l’homme qui avait violé sa mère et qui l’avait humilié elle et sa sœur. Mais surtout, Marie n’était plus seule.

Toute sa vie, elle avait été solitaire. Elle avait peu d’amis et préférait de loin les livres aux humains. Une fois installée chez Da Silva, elle se lia d’amitié avec plusieurs membres du personnelle du Parrain. Il y avait bien sur Léo, le responsable des écuries qui était un ancien fermier de la région, mais surtout sa fille Anne dont la principale responsabilité était de répondre aux besoins de la future madame Da Silva. Il y avait aussi Line et Mireille, deux jeunes femmes de ménage qui étaient d’une grande culture et d’une gentillesse sans failles. Ces gens étaient beaucoup plus abordables que les serviteurs un peu snobs qui avaient peuplé son enfance. Pour la première fois de sa vie, Marie avait de vraies amies.

Elle aurait bien pu s’abandonner à cette vie de princesse, mais quelques nuages lui cachaient le soleil. Tout d’abord, il y avait sa mère. Chaque samedi, elle quittait le domaine pour visiter la villa Castillo. La maison était pratiquement déserte et ressemblait à un musée. Semaines après semaines, Jeanne semblait plus faible et amaigrie. Son attitude était toujours aussi rigide, mais son regard était de plus en plus triste. Leurs conversations se résumaient à peu de chose. Elles échangeaient des banalités et Jeanne lui rappelait de garder courage, de rester elle-même et de ne pas renier son nom et son héritage. Jamais elle ne se plaignait de sa condition et jamais elle ne parlait de sa sœur. Pour l’essentielle, elles passaient l’après midi en silence, se tenant parfois par la main, jusqu’à ce que le chauffeur signale le moment du départ.

La seconde épine dans le cœur de Marie était sa sœur Sylvie. Au départ, elle restait compréhensive envers son aînée, mais avec le temps, son attitude devenait de plus en plus désagréable et inquiétante. Le repas du dimanche amenait pratiquement toujours des invités au domaine. Bien qu’elle n’aimait pas vraiment ces rencontres, Marie gardait toujours une attitude diplomatique et polie face aux invités. Sylvie était presque toujours du nombre. Après la cérémonie des fiançailles, elle avait elazığ escort rapidement emménagé avec son amant, Maxime. Elle était en amour par-dessus la tête avec cet homme et l’exprimait sans ménagement.

Marie détestait cet individu trop beau, trop poli, trop élégant, trop parfait. Elle détestait la manière avec laquelle il traitait sa sœur, son attitude condescendante et paternaliste envers Sylvie. Elle détestait son regard et surtout son sourire charmeur qui émouvaient toutes les femmes qui l’approchaient. Elle se méfiait de lui plus que de la peste. Mais plus le temps passait, plus Sylvie l’irritait.

Sa sœur se comportait comme une véritable catin lorsqu’elle était avec son amant. En fait, Marie ne se souvenait pas vraiment d’avoir été seule avec sa sœur. À cette époque, elle le suivait partout comme un petit chien, toujours accrochée à lui. Elle l’embrassait à pleine bouche partout et devant tout le monde. Elle se frottait littéralement sur lui. Cherchant à peine à se cacher, ils se pelotaient d’une manière tout à fait indécente à la moindre occasion. Souvent, le couple s’éclipsait en douce pour aller faire l’amour en vitesse. Leur réputation n’était plus à faire parmi le personnelle du domaine. Les récits coquins mettant en vedette la belle Sylvie chevauchant son amant dans les écuries ou hurlant son plaisir dans les buissons faisaient fureur. Rarement, quittait-elle l’endroit avec ses vêtements proprement ajustés. Au contraire, il y avait souvent de l’herbe ou du foin dans ses sous vêtements.

Une chose inquiétait Marie par-dessus tout : le regard de Sylvie. Il n’était jamais franc. Elle faisait beaucoup de bruit, mais il y avait une absence dans ses yeux. Jamais elle ne la regardait directement. Elle évitait d’être seul avec sa sœur. Au début, c’est elle qui entraînait son amant dans les buissons. Avec le temps, son regard est devenu de plus en plus éteint, ses yeux de plus en plus vitreux. Mais surtout, ce n’était plus elle qui avait le leadership dans le couple. Tranquillement, elle prenait le second rôle. De plus en plus, elle avait l’aire d’une petite fille soumise à son amant. Il lui disait quoi faire et elle le faisait avec le sourire. Leur sexualité était toujours aussi exubérante, mais c’était maintenant Maxime qui décidait du où et du quand. Un soir, Marie le vit clairement traverser la pièce après avoir fini son verre, attraper Sylvie par le bras, interrompant sa conversation, pour l’attirer vers les toilettes. Dix minutes plus tard, elle était de retour décoiffée et son soutien gorge avait disparu.

Finalement, il y avait Bruce. C’était le chien de Da Silva. Un gigantesque rottweiler, costaud et agressif. Selon ce qu’on en disait, c’était une bête merveilleuse. Pour Marie, ce chien semblait tout droit sorti d’un film d’horreur. Sa puissante mâchoire pouvait briser une jambe sans efforts. Quand il était au domaine, Raphaël était toujours accompagné de son chien, même à table où on le nourrissait de filets mignons. C’était stupide, même intimidant, ce n’était qu’un chien. Mais l’animal lui rappelait constamment qu’elle vivait sous l’emprise d’un homme cruel.

2.

De son côté, Sylvie était sur un nuage. Le lendemain de leur nuit d’amour, Maxime se présenta à la porte de sa chambre. Étendue, nue dans son lit, elle se caressait doucement en repensant à la nuit qu’elle venait de passer avec Maxime. Jamais, elle n’aurait crue qu’une femme puisse jouir aussi souvent et avec autant de force. Elle était profondément troublée par les émotions que cet homme créait en elle. Elle sursauta et se couvrit rapidement lorsqu’il cogna à la porte.

-Oui. Qui est là?

-C’est moi, Maxime

-Oh! Entre mon amour.

Il entra en vitesse

-Tu es toujours couché?

-Euh, en fait, je pensais à toi.

Il s’approcha d’elle, retira les couvertures et, constatant sa nudité, il sourit à pleines dents. Il se pencha et l’embrassa passionnément. Il posa la main sur sa chatte et constata qu’elle était trempée. Il taquina son clitoris.

-Tu te branlais?

-Hi! Hi! Je pensais à toi.

-Et c’est ce qui te fait mouiller comme ça?

-Hi! Hi! En fait, j’ai déjà dû me changer 2 fois de culottes ce matin. Je mouille constamment.

-Continue. Montre-moi comment tu fais.

Timidement, ses doigts retournèrent à sa chatte. Il écarta ses jambes pour mieux voir. Sylvie ferma les yeux et s’offrit en spectacle. Moins de cinq minutes plus tard, Maxime était profondément enfoncé dans son vagin et elle criait de nouveau sa jouissance. Une fois le calme revenu, il lui dit.

-Je suis venue te dire que tout est organisé. Si tu le veux, dès demain, tu pourras venir habiter chez moi.

-Tu es sérieux?

-Absolument.

-Ohhh! Maxime!

Elle lui sauta littéralement dessus. Elle l’embrassa longuement. Sa bouche explorant chaque partie de son corps pour finalement s’arrêter sur sa queue. Bientôt, Sylvie se retrouva à quatre pattes, le pénis de son amant poussant délicatement erzincan escort sur son anus. Au moment où il s’enfonçait dans son cul, elle dit :

-Mon trou du cul t’appartient mon amour!

3.

Sylvie emménagea donc chez Maxime. Les premiers jours, ils ne quittèrent le lit que pour manger et encore les repas se passaient souvent sous le signe de l’érotisme. Maxime dû retourner rapidement à ses occupations. Officiellement, son travail était de faire la gérance des différents bars contrôlés par Da Silva. Sylvie était loin de se douter que sa principale fonction était d’être le souteneur numéro un de la ville. Il s’assurait de fournir des filles de qualités aux riches clients de ses réseaux et surtout il s’assurait que leurs performances étaient à la hauteur des attentes du client. Il patrouillait les bordels et les bars de danseuses pour maintenir la discipline et s’occuper des intérêts de l’organisation. Professionnel, il ne touchait jamais aux filles, mais ses activités étant nocturne, il passait peu de temps à la maison.

Sylvie s’installa donc rapidement dans une routine caractérisée par de longues périodes d’ennuie et de brèves moments de passion brûlante. Une journée type dans sa vie commençait vers midi, au moment où Maxime se réveillait. Elle attendait impatiemment ce moment pour lui faire l’amour tendrement. Il quittait en début d’après midi. Le reste de la journée était insupportablement long. Bien entendu, elle courait les magasins, allait au cinéma, flânait à la piscine etc. Le soir, elle se préparait, se mettait belle et sexy pour son homme et attendait impatiemment son retour. Il rentrait généralement vers trois heures du matin. Il était alors invariablement excité et lui faisait l’amour sur le champ. Il va s’en dire que la communication n’était pas le point fort du couple

Elle vivait maintenant dans un immense penthouse, en plein centre ville. Elle était libre de ses allez et venus, mais elle était toujours accompagnée d’un chauffeur. Sylvie aurait très bien pu renouer des liens avec d’anciens amis, mais sa priorité était Maxime, son sauveur, et elle n’avait pas le cœur à grand-chose quand il était absent. Ses journées se vivaient en montagne russe; très intense avec Maxime et très ennuyante sans lui. L’angoisse et le mal de vivre reprenaient le dessus sur elle. L’appartement possédait cependant une pharmacie bien remplie de produits aidant à calmer les esprits troublés.

Les jours passèrent. Leurs relations sexuelles pouvaient se résumer ainsi : caresses, amour oral et pénétrations dans différentes positions. Régulièrement, la relation se terminait avec le pénis de Maxime profondément enfouit dans les fesses de Sylvie. Un matin, alors qu’il se lançait dans une nouvelle série de caresses. il fit glisser sa main vers son bas ventre, elle l’arrêta.

-Attention, j’ai commencé mes règles cette nuit.

-Ce n’est pas grave, je peux toujours te caresser un peu et ensuite… tu t’occuperas de moi. Tu veux?

C’est ainsi que Sylvie se livra à une pipe matinale des plus enflammée. Au moment où Maxime allait jouir, elle lui demanda gentiment :

-Ne viens pas dans ma bouche SVP. Je n’aime pas ça.

L’attitude de Maxime changea instantanément. Il poussa un soupir de frustration. Il se leva, se plaça derrière Sylvie et l’encula sans aucune préparation.

-Aie! Non, Max! je ne suis pas prête. NON!

Mais rien n’y fit. Au bord de l’orgasme, il la pistonna avec vigueur jusqu’à la délivrance. Le couple resta un moment en silence.

-Je m’excuse dit Maxime

-Ce n’est pas grave mon amour.

-C’est que ta bouche était si douce, si chaude. C’est très frustrant pour un homme de se voir refuser sa semence.

-Je m’excuse. Je n’ai jamais été à l’aise avec ça.

-Je t’ai fait mal?

-Pas vraiment. J’ai plutôt été surprise. Il faut croire que mon corps est fait pour ton sexe hi hi hi!

Un peu après deux heures la nuit suivante, la porte de l’appartement s’ouvrit. Sylvie, poitrine nue, s’avança sensuellement vers Maxime et s’agenouilla devant lui. Dix minutes plus tard, elle goûtait pour la première fois de sa vie à la semence d’un homme. Pris d’un haut le cœur, elle recracha le tout. Le couple éclata de rire.

À partir de ce moment, Sylvie dû performer une fellation à tous les matins sur le membre de son amant. Une autre petite crise survint peu de temps après tant et si bien que trois semaines plus tard, Sylvie avalait sa ration de sperme à chaque matin.

4.

Pour briser la routine, Maxime amenait occasionnellement sa conjointe au travail. Ils se rendaient dans des discothèques de luxe où Maxime réglait ses différentes affaires dans ses bureaux pendant que Sylvie s’éclatait sur la piste de danse. Elle attirait les regards et de nombreux hommes flirtaient avec elle n’hésitant pas à prendre ses fesses et parfois ses seins. Sylvie prenait un malin plaisir à cette attention et elle était d’autant plus excitée qu’elle savait que Maxime allait la satisfaire erzurum escort dès la soirée terminée. Inutile de dire que ces virées étaient riches en alcool et autres substances.

Une nuit, Maxime l’amena dans un établissement qu’elle ne connaissait pas. L’endroit était encore plus chic qu’à l’habitude et beaucoup plus tranquille. Le couple resta ensemble toute la soirée, partageant danse, boisson et rires. Un peu après minuit, Maxime entraîna sa belle vers le fond de l’établissement. Ils entrèrent dans une zone isolée gardée par deux géants noirs. La pièce était sombre, simplement éclairée par de petites lampes rouges accrochées aux murs.

Sylvie se figea sur place. Ses yeux s’ajustant à l’absence de lumière, elle remarqua une femme assise sur un banc. Ses jambes étaient largement écartées, ses seins pendaient à l’air libre. Un homme était agenouillé entre ses jambes. Partout où elle regardait, des couples s’activaient. Ici une femme montait un homme assis sur une banquette. Là, une autre dansait seulement vêtu de ses bas de nylon pour deux gars qui la caressait. Ailleurs, une femme était étendue sur une table, la queue de son amant profondément fourrée dans la chatte. La musique était très forte, l’ambiance irréelle et très érotique. Maxime l’entraîna vers un coin tranquille et ils firent l’amour merveilleusement parmi tous ces autres couples.

5.

La sexualité des deux amants était de plus en plus intense. Pour Sylvie, chaque relation, chaque nouvelle expérience était meilleurs que la précédente. Par un après midi ensoleillé, elle enfila une robe légère. À la demande de Maxime, elle ne portait aucun sous vêtements. Alors que la voiture roulait vers Blackpoint, Il banda les yeux de son amoureuse et il la caressa doucement pour l’aguicher. Sylvie mouillait abondamment. Une fois la voiture immobilisée, il fit descendre sa partenaire toujours aveugle et ils entrèrent dans un endroit climatisé. L’odeur de l’établissement était bizarre, troublant. Des voix amplifiées parlaient en anglais. Maxime retira le bandeau.

Ils étaient dans un cinéma. Debout dans l’allée centrale, Sylvie fut aveuglée momentanément par l’écran. Une minuscule asiatique aux allures connues se penchait sur un énorme pénis noir, l’avalant entièrement. Ils descendirent l’allée et Maxime la fit asseoir en plein centre de la salle sur un vieux siège à la propreté douteuse. Il la prit par les épaules et porta son attention sur le film.

Rapidement, Sylvie constata du mouvement autour d’elle. Un vieil homme aux cheveux jaunis venait de prendre place à deux sièges d’elle. Un gros barbu s’installa derrière, un vieux noir était debout tout près. D’autres s’approchaient. Maxime lui glissa à l’oreille.

– Relaxe.

Il défit les boutons de sa robe, libérant ses seins. Les hommes s’approchaient. Une main toucha son épaule et ouvrit sa robe plus largement. Sylvie, tendue comme une barre, se retourna pour voir le gros barbu, debout, qui se masturbait tranquillement. Elle regarda à sa gauche, puis à sa droite. Partout, les hommes avaient leur queue en main. Maxime retroussa sa robe et se mit à jouer avec son clitoris. Malgré son malaise, sa chatte inondait le siège. Le vieillard à sa gauche avança une main et elle sursauta au contact des doigts froids et ridés du grand père sur son sein.

Maxime se glissa à genoux devant elle et se mit à lui manger la chatte. Voyant que la femme était réceptive, le petit groupe d’homme se resserra. D’autres mains touchèrent son corps. Le gros barbu présenta son pénis à sa bouche. Elle fit signe que non et il se retira quelque peu en lui caressant les cheveux. Les efforts de Maxime commençaient à sérieusement exciter la jeune femme. Le vieillard sembla éjaculer et se retira en vitesse. Un homme dans la cinquantaine pris immédiatement sa place. Plus hardi, il se pencha sur les seins de Sylvie pour lui sucer un mamelon. Sur l’écran, l’asiatique se lamentait de plus belle pendant que la monstrueuse queue noire lui défonçait le cul sans ménagement et ce, en gros plan. Deux hommes maintenaient Sylvie par les chevilles et caressaient ses jambes. L’un d’eux retira sa chaussure et frotta son pénis sur la plante de son pied. Le gros barbu, n’y tenant plus, éjacula abondamment sur ses cheveux. Les doigts de Maxime caressaient son anus, pénétraient son vagin. Son clitoris était enflé.

Prise de spasmes et de tremblements, Sylvie orgasma bruyamment pendant près d’une minute. Un autre homme s’approcha et éjacula dans son cou. Son pied gauche s’englua de sperme. Maxime se releva et chassa le groupe d’homme encore restant, Il prit Sylvie par la main et l’entraîna vers une porte dérobée qui donnait sur l’extérieur. La voiture les attendait là et démarra rapidement. Les jeunes amants riaient à gorge déployée. Maxime dégrafa son pantalon et retroussa la robe de Sylvie. Il la pénétra en poussant un grognement et il se soulagea en elle sous les yeux d’un camionneur fort intéressé. Une fois le calme revenu, Sylvie éclata de rire. Elle n’avait plus qu’une seule chaussure.

6.

Quelques jours plus tard, le couple était attablé avec deux amies. Un petit homme à la calvitie précoce et au ventre mou et une superbe blonde platine aux jambes sensuelles. La conversation tourna rapidement au sexe et la femme offrit à brûle pour point :

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Le Joeut Sexuel du Patron Ch. 10

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Big Tits

Le jouet sexuel du patron Ch. 10

Coulybaca / wifelvrman

Récit de Georges:

Déborah est maintenant devenue officiellement une prostituée.

Elle m’a dit qu’elle avait gagné ses premiers 250 $ sous la houlette d’Amy.

Elle a sucé et a baisé avec son premier client dans sa voiture alors qu’ils stationnaient derrière un bâtiment vers de la ville, il lui a donné 100 $. Il l’a donné $100.

Elle l’avait sucé pendant qu’il conduisait lentement dans le quartier.

Sa bite avait gonflé, gonflé, jusqu’au moment où il avait largué quelques gouttes de pré-semence dans la bouche de Déborah, c’est alors qu’il s’était garé derrière le bâtiment et qu’il l’avait enfourchée allongée sur le siège arrière, il lui avait peloté les nichons à nu tout le temps de sa per-formance, n’importe quel passant aurait pu se rendre compte qu’elle se faisait baiser à l’arrière d’une voiture.

Puis elle avait de nouveau arpenté la rue et s’était entendue avec une paire de jeunes gaillards qui se firent sucer, elle dut avaler la fumée.

L’un des deux la doigta la durée de la pipe (elle ne s’attendait pas à cela) qu’elle accordait à l’autre. Il lui commanda de fermer étroitement sa bou-che alors qu’il déversait des torrents de foutre dans son arrière gorge.

Le second gicla tout de suite et couvrit son visage de foutre chaud et gluant avant de retourner dans sa bouche pour qu’elle lui tarisse les bur-nes.

Puis elle appartint à un petit vieux bedonnant, il n’avait que 60 $ elle le suça pourtant et se fit baiser à sa convenance sachant qu’elle pourrait retourner chez elle ensuite.

Sa bite était courte et grasse, il ne l’avait pas lavée depuis longtemps.

Elle eut du mal à guider sa queue dans sa chatte dans l’étroite voiture, elle avait bien du mal à le garder en elle, il la prit à la taille la serrant contre son ventre tandis qu’il la possédait.

Sa bouche était juste à hauteur de ses nibards eskişehir escort qu’il suçait et mordillait frénétiquement, il lui laissa des marques rouges sur les aréoles.

Amy l’emmenait travailler en ville au moins une fois par semaine, géné-ralement le vendredi soir. Plusieurs fois elle m’emmena avec elle.

Elle faisait descendre Déborah et elle se garait la voiture et on la regar-dait assurer ses passes.

La première fois que je la vis grimper dans la voiture d’un étranger, cela me tracassa réellement. J’étais extrêmement gêné.

Rien que de la voir déambuler le long de la rue les nibards et les fesses bien à l’air me choquait profondément.

Lorsqu’elle se penchait par la vitre des voitures, je savais que ses ni-bards étaient libres de toute entrave et je voyais ses futurs clients les empoigner comme pour estimer la marchandise.

Amy me fit acheter des préservatifs pour Déborah.

Elle a utilisé 12 capotes vendredi dernier, c’est le maximum de clients qu’elle se soit fait en une nuit.

Elle rapporta environ 800 $ cette nuit là.

Amy lui prend tout l’argent, elle en donne une partie à un maquereau lo-cal qui autorise Déborah à arpenter “ses rues”.

Ce souteneur, un véritable colosse noir, se tape Déborah lorsqu’il le dé-sire.

Une paire de semaines plus tôt il l’a baisée sur le siège arrière de sa voi-ture alors qu’Amy et moi étions stationné à quelques mètres.

Il possède une bite très épaisse, très longue et très noire.

Déborah rejoignit la voiture d’Amy une fois qu’il en eut fini avec elle, il ne s’était pas servi de capote, c’est un des rares à ne pas en employer.

Mercredi dernier, une nuit que Déborah allait à l’église habituellement, Amy la convoqua à sa maison.

Tout ce que je savais c’est qu’elle organisait une partie lesbienne, Débo-rah suça, lécha, baisa des femmes et fut baisée par elles?

Elle revint à gaziantep escort la maison sa chatte et son trou du cul très enflés, rouges et béants.

Elle me dit que les femmes étaient bien pires que les hommes! ……

Déborah avait été parfois partousée lorsque Dan où Amy en avait déci-dé ainsi.

Elle participa à une partouse avec 8 hommes et à une autre avec 6 femmes.

Dan lui a dit qu’il lui préparait un énorme gang-bang sans rien lui préciser de plus.

J’ai assisté au gang bang avec 8 homes, bien sur je n’ai pas profité des charmes de ma femme, je devais regarder et sucer les mecs pour leur rendre leur vigueur. Les sucer où les branler à la main pour leur conser-ver une vigueur de bon aloi.

Déborah avait démarré le gang bang en dansant pour eux tout en s’ef-feuillant, puis à genoux elle les avait tous sucés alors qu’ils s’étaient mis en cercle l’encerclant de bites impatientes.

Puis elle s’était étendue sur un matelas, avait écarté ses cuisses, ouvert sa foufoune et avait demandé

-“A qui le tour? ….”

Puis ils s’étaient succédé en elle au minimum un en chatte et un en bou-che.

Elle commença par s’allonger sur un homme étendu au sol, ainsi son trou était facilement utilisable.

Elle parvint même à recevoir en même temps, deux bites dans sa cra-mouille et plus tard, deux dans son trou du cul.

Je n’aurai jamais pu croire qu’elle y parvienne, mais étant là je les voyais faire.

Certain de mes collègues participaient à cette partouze, quelques uns me firent sucer leurs queues après qu’ils aient pris Déborah en cul, j’avalais tout, cela donnait un peu de répit à Déborah tout en diminuant le volume de foutre qu’elle devrait avaler.

Presque chaque nuit, un membre de la boite l’appelait pour la baiser, elle se rendait parfois chez eux, le plus souvent ils venaient chez nous.

Ils aimaient baiser ma femme dans giresun escort notre lit conjugal alors que j’attendais au salon qu’ils en aient fini avec elle.

Ils étaient très déçus lorsque Dan ou Amy l’emmenait en virée.

Déborah me demandait à chaque fois de lui bouffer le minou lorsque ses “amants” nous quittaient, parfois même devais lui brouter le minou sous leurs yeux égrillards.

Je pense que ces hommes adoraient me voir avaler la semence d’un tiers engorgeant la chatoune de Déborah.

Déborah reprend le récit :

J’étais joliment fatiguée après ces exploits, la nuit dernière, deux collè-gues de Georges ne partirent que bien après minuit.

Ils ne partirent qu’une fois que je leur ai totalement vidé les burnes en les suçant et en les accueillant dans mon con et mon cul.

Non seulement je me faisais baiser à tour de bras par de grosses bites et d’épais vibromasseurs, mais de plus je passe beaucoup de temps à leur lécher le cul.

Au début cela me révulsait, mais maintenant cela fait partie de mes pra-tiques ordinaires.

Je me fais ensuite copieusement lécher par Georges puis je tombe épui-sée dans les bras de Morphée une fois que j’ai joui.

Je suis tout aussi capable de faire jouir rapidement une femme mainte-nant, et je peux avaler la cyprine d’une femme qui me lèche.

Amy me fait porter un plug anal tous les jours, elle m’en fait porter de plus en plus gros, elle dit qu’elle veut que mon trou du cul bée en permanence, ce qui facilitera facile l’enculage par une énorme bite ou un monumental godemiché.

Très souvent j’ai aussi un leurre enfoncé dans la chatte, la combinaison des deux rend ma démarche aléatoire alors que je bande mes sphincters pour les garder en moi.

Les hommes semblent aimer me voir évoluer ainsi harnachée, Amy et ses amies aussi.

Samedi prochain doit avoir lieu le gang bang avec de nombreux partici-pants, Dan m’a dit qu’il avait invité 40 participants qui voulaient tous jouir de tous mes trous……

Ah oui, et ce soir je reprends mon boulot en arpentant de nouveau les rues à la recherche de clients! …..

22 novembre 2007

Traduction en français de Coulybaca,

avec l’autorisation de l’auteur wifelvrman (Literotica)

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Les vacances en Afrique

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Amateur

Ceci est le récit des vacances que nous avons passées en Afrique, dans un pays dont je tairai le nom pour n’offenser personne. Mais que je me présente avant tout. Je m’appelle B., j’ai 45 ans et ma femme, J. a 38 ans.

Nous avions envie de découvrir le désert en faisant un périple à dos de chameau. Nous avons réservé notre voyage en prenant directement contact avec une agence locale, qui nous a organisé un séjour au sein d’une caravane de nomades.

Une fois sur place, nous avons été emmené en 4×4 jusqu’au campement de la tribu où on nous a récupéré et affecté une tente pour la nuit. Le lendemain très tôt, pour éviter la chaleur de la mi-journée, nous nous sommes mis en route. Nous avons cheminé tantôt sur nos chameaux, tantôt à pied. Après une longue pause entre midi et cinq heures, nous avons continué à nous enfoncer dans le désert et le soir, nous avons installé notre campement dans le lit d’un oued.

Si vous ne connaissez pas le désert, quand je parle d’un oued, vous imaginez sans doute une rivière. Un oued dans cette région est toujours asséché, sauf lors de grandes pluies. Comme le lit est le point le plus bas de la plaine, c’est là que l’eau s’accumule et forme un torrent. Quand il est sec, le lit reste bien visible à cause de la végétation, rare mais présente tout le long. L’oued est utile aux nomades parce que c’est un pâturage pour les bêtes et c’est aussi le lieu où l’on peut trouver du bois pour le feu.

Durant cette première journée nous avons fait connaissance avec nos guides, et plus particulièrement Mustapha, Abdou et Sami. Abdou a même changé le prénom de ma femme en décidant de l’appeler Aïcha. “Aïcha, photo” dit-il en prenant l’appareil et en nous demandant de poser pour nous prendre à côté d’un chameau ou au pied d’un massif à la forme évocatrice. Il lui arrive aussi de me dire “B., Tu laisses la gazelle tranquille!” quand je taquine ma femme. Abdou est plutôt grand et sec. Mustapha a la corpulence d’un pilier de rugby. Quant à Sami, il est entre les deux : taille moyenne, poids moyen. Pour ma part, je ressemble plutôt à Sami avec la musculature d’un intellectuel plutôt que celle d’un nomade. Ma femme, elle, est plutôt rondelette, avec des formes là où il faut comme on dit.

Je ne fus pas long à m’endormir le premier soir, assez fatigué par la chaleur et la marche toute la journée. Le lendemain matin, très tôt, je me suis rendu compte que ma femme n’était plus à mes côtés. Je sais qu’elle aime partir seule à l’affût de belles photos. Je suis sorti de la tente pour aller à sa rencontre et en même temps faire mes besoins à l’abri des regards. Le campement était encore endormi. J’ai essayé de repérer l’empreinte de ses pas dans le sable pour suivre ses traces et chercher dans une direction probable ou du moins possible. Je me suis éloigné jusqu’à ce que je ne vois plus les tentes, toujours sans voir ma femme. Au bout d’une heure environ, j’étais de retour mais sans savoir où se trouvait J. et je commençais à m’inquiéter.

Puis, je la vis se glisser sous la tente. Elle avait un drôle de regard. Gênée. Je lui dis que je m’étais inquiété. Elle m’expliqua qu’elle s’était levée avant le soleil, pour faire des photos et ses besoins, elle aussi (paradoxalement, il n’est jamais facile de s’isoler dans le désert). Et puis, alors qu’elle faisait pipi, Abdou l’avait surprise. Elle avait dû se reculotter en vitesse, mais le mal était fait. Il l’avait certainement vue accroupie, les fesses à l’air. Elle m’avoua qu’il l’avait violée.

Je la regardais, incrédule. J’aurais dû être en colère et en même temps protecteur mais je restais plutôt inerte. C’était sans doute parce qu’elle ne correspondait pas à l’image, sans doute un cliché, de la femme violée. Je lui demandais s’il l’avait frappée. Elle me raconta qu’il était venu vers elle, qu’il avait relevé sa gandoura, qu’il était nu en dessous et qu’il lui avait montré son érection. Il l’avait alors allongée sur le sable et l’avait forcée. J’ai demandé à J. pourquoi elle n’avait pas crié. Elle me dit qu’elle n’avait pas pu, qu’elle s’était plus ou moins laissée faire. Je n’osais pas l’interroger bien que j’aurais voulu avoir des détails. Je redoutais qu’elle me dise qu’elle ne s’était pas opposé à ce viol parce qu’elle ne le voyait pas ainsi. Son attitude en revenant n’avait pas été celle de quelqu’un de terrifié mais comme je l’ai dit, elle exprimait plutôt la gène. Sans doute vis à vis de moi.

Mais je lui ai quand même fait remarquer que ce qu’elle venait de me raconter avait tout au plus dû durer quelques minutes, ce qui n’expliquait pas sa disparition pendant plus d’une heure, même en comptant le temps de l’escapade elle-même. Son embarras s’accentua. Elle semblait ne pas savoir comment se justifier. Elle hésitait à dire la vérité. Ou bien, elle cherchait un mensonge plausible. Elle finit pas m’expliquer laborieusement qu’Abdou l’avait ramenée au campement puis invitée sous sa tente. Je compris à demi-mot qu’elle n’avait pas cherché à lui échapper, qu’elle ne m’avait pas appelé à son secours et qu’elle l’avait suivi de son plein gré.

Après cette confession, nous sommes restés silencieux hatay escort tous les deux, chacun dans ses pensées. Elle devait se préoccuper du futur alors que moi, j’étais abattu par le passé.

Elle alla prendre l’eau qui nous servait pour la toilette. Elle me tourna le dos, retira sa culotte, se lava le sexe et laissa retomber sa robe. Elle ne pouvait pas se soustraire à ma présence parce qu’il n’y avait aucun endroit où s’enfermer. Je compris qu’elle nettoyait le sperme qui était en elle. Je lui fis remarquer qu’elle n’avait pas remis de slip. Elle devint instantanément cramoisie et me dit qu’elle ne pouvait pas. Je pensais qu’elle était blessée ou qu’elle avait un empêchement physique mais devant mon incompréhension, elle se sentit obligée de me donner une explication. Je fus effaré d’apprendre que c’était Abdou qui avait exigé qu’elle ne porte plus de sous-vêtement. Je tentais de la ramener à la raison, de lui dire qu’elle n’avait aucune obligation de suivre ses ordres mais rien n’y fit. Elle resta sans dessous et enleva même son soutien-gorge.

Abdou vint nous rejoindre. Il tenait, pendue sur son avant bras, une gandoura rouge vif. Il me demanda de sortir. Je regardais ma femme et je vis qu’elle m’implorait d’obéir. Je baissais la tête et je quittais la tente, les laissant seuls tous les deux. C’était l’humiliation suprême.

Je regardais par l’ouverture de l’entrée et je vis que ma femme était nue. Abdou lui avait commandé de se déshabiller et elle s’était exécutée. Il lui tendait la gandoura et elle l’enfila. Je l’entendis lui dire “Tu garderas cet habit traditionnel et tu resteras nue en dessous, comme je le suis moi aussi. Tu resteras à ma disposition jour et nuit. Je te prendrai chaque fois que j’en aurai envie. Tu expliqueras ça à ton mari. Il devra sortir de la tente chaque fois que je rentrerai, sans que j’ai rien à lui dire.” Il sortit et m’invita à rentrer, précisant que ma femme souhaitait me parler.

Elle n’osait pas me regarder en face. Je ne disais rien. Puis, elle s’enhardit et bredouilla qu’elle devait rester dans cette tenue, qu’Abdou l’exigeait. Je fis mine de m’opposer à cette décision, de plaider pour un front commun, mais je sentis que ma femme avait changé de camp. Je ne comprenais pas pourquoi, mais il semblait clair que le principal obstacle à un refus de notre part était que J. était consentante.

L’atmosphère resta lourde toute la journée. Les nomades s’étaient apparemment installés pour quelques jours et nous n’avions rien d’autre à faire qu’à attendre qu’on nous appelle pour le déjeuner puis pour le dîner, pris sur des tapis déroulés à même le sable, à l’ombre d’une immense muraille rocailleuse.

Après le déjeuner, nous nous dirigeâmes vers la tente pour faire la sieste. Malgré la chaleur, je ne dormais pas. Je cherchais à savoir si ma femme, elle, était assoupie. J’écoutais sa respiration. Je fus assez vite fixée. Elle se leva sans faire de bruit, pensant que je ne l’entendais pas. Elle sortit de la tente. Je savais qu’elle allait rejoindre Abdou. Je restais seul, imaginant ce qui se passait, ce qu’ils faisaient. Je jetais un œil à ma montre pour pouvoir estimer la durée de son absence. Elle ne revint qu’au bout de trois heures. Elle vit que je ne dormais pas. Elle ne chercha pas à se justifier. Elle semblait simplement me demander de lui pardonner. Son regard disait “Je n’ai pas pu résister. Excuse moi.”

Après le repas du soir, Abdou, Mustapha et Sami nous accompagnèrent jusqu’à notre tente. Abdou entra avec ma femme, nous laissant dehors. Nous les entendîmes discuter. Abdou proposait que ma femme s’occupe de ses amis. Elle refusait. Elle dit à Abdou qu’elle l’aimait, qu’elle ne faisait pas ça par vice. Mais Abdou était inflexible. Il disait que ses amis avait aussi envie d’elle et qu’elle devait se soumettre. Comme les positions ne changeaient pas ni d’un côté ni de l’autre, Abdou appela Mustapha et Sami.

J’entrais avec eux, bien décidé à aider ma femme à se sortir de là. Mais pendant quelques minutes, la tension retomba parce que Abdou, Mustapha et Sami discutaient entre eux dans une autre langue que je ne comprenais pas. Puis Sami est ressorti. Mustapha, Abdou, ma femme et moi nous nous regardions sans plus parler ni agir. Sami est revenu au bout de quelques minutes. Il tenait des cordages. Il en attacha deux au pied du mât central de la tente et un troisième en bas d’un bois de soutien du pourtour. Je le vis s’assurer qu’ils étaient suffisamment serrés pour ne pas pouvoir glisser vers le haut.

Abdou déplaça notre lit composé d’un matelas léger à même le sol et d’une couette. Il demanda à ma femme de s’agenouiller sur le lit, face au poteau. Sami lui passa une des deux cordes du mât derrière les genoux et avec celle ancrée au cercle externe il fit le tour de sa taille. J. était solidement fixée, maintenue à l’avant par le lien autour de son ventre et à l’arrière par celui autour de ses jambes. Abdou lui appuya sur la nuque pour qu’elle incline son buste jusqu’à ce que sa joue touche le coussin. Elle avait la position de la prière musulmane. Sami lui passa le troisième ığdır escort cordage autour du cou. Elle ne pouvait plus relever la tête.

J’aurais dû m’opposer à tous ces préparatifs dont je comprenais petit à petit le sens mais d’une part Mustapha me surveillait et d’autre part, j’étais paralysé par la docilité de ma femme.

Abdou releva la gandoura de J. jusqu’à la taille, découvrant ses fesses. Il me fit signe de m’approcher. “Tu es le mari, tu as le droit de passer en premier.” Comme je ne bougeais pas, Sami et Mustapha me forcèrent à avancer. Puis ils me firent signe de baisser mon bermuda. Je fis ce qu’ils me demandaient. Je n’avais pas le courage de leur résister. Puis je retirais mon caleçon et je me retrouvais debout derrière ma femme, cul nu et en t-shirt. Les trois hommes pouvaient constater que cette contrainte et l’image de ma femme offerte me faisaient bander. Mustapha me fit mettre à genoux, souleva le cul de J. et me fit comprendre que je devais la prendre en levrette.

Quand je l’ai pénétrée, j’ai bien vu qu’elle était trempée. Moi, je bandais et elle, elle mouillait. Je tenais J. aux hanches et j’allais et je venais en elle, plus doucement que d’habitude. Sans doute étais-je gêné par la présence des autres hommes.

Abdou me tapota l’épaule et me fit signe de me retirer. Je sortis mon sexe toujours raide parce que je n’avais pas eu le temps d’éjaculer et je laissais ma place. Il s’accroupit, recouvrit les fesses de ma femme avec sa gandoura et la prit avec force. Ma femme gémit sous l’assaut. Il l’empoignait à la taille et lui bourrait le cul sans ménagement. On ne voyait pas l’accouplement qui était masqué par le vêtement mais on pouvait apprécier l’amplitude des coups de reins et imaginer qu’Abdou ressortait entièrement pour rentrer jusqu’à écraser les fesses avec son pubis. On comprenait aussi que ma femme, au lieu de tenter de se soustraire au pilonnage, bougeait son cul avec des mouvements de bassin vers l’avant pour accélérer le retrait et vers l’arrière pour accentuer l’enfoncement. Elle respirait de plus en plus fort et poussait un petit cri à chaque fois qu’Abdou frappait le fond de sa matrice. Il cria et resta fiché en elle, son ventre plaqué au derrière, avec des soubresauts et des contractions des fesses indiquant qu’il se vidait dans la chatte. Pendant toute la durée de son éjaculation, ma femme eut un orgasme. Elle criait aussi fort que lui et son visage exprimait tout le plaisir qu’elle avait.

Abdou se retira, découvrant le cul de J. La croupe était restée levée pendant toute la copulation, autant que le permettaient les liens. J. reposa ses fesses sur ses talons. Ce mouvement fit pression sur son bas-ventre et on vit le sperme sortir par la fente, formant de longs filets qui descendaient entre les cuisses.

Ce fut au tour de Mustapha. Lui se mit nu. Il bandait très dur. Il dit quelque chose aux deux autres que je ne compris pas. Puis il parla en français. “Donne-moi ton cul la gazelle.”. Ma femme souleva ses fesses pour s’offrir. Il écarta la raie du cul de J. et cracha à l’aplomb de l’anus. Il badigeonna la rondelle et progressivement encula ma femme avec son pouce. Je voyais la pastille s’ouvrir petit à petit et le doigt entrer un peu plus profondément à chaque pression. Il semblait évident qu’il allait la sodomiser, peut-être parce que l’autre trou était encore plein du foutre d’Abdou.

Il enduisit son membre de salive et le plaça sur le petit trou de J. et commença à s’enfoncer. Je vis le gland franchir le passage en souplesse. Ma femme apparemment se laissait enculer et peut-être même le désirait. Une fois le nœud en place, le reste du sexe entra sans difficulté. Mustapha pesait de tout son poids sur les fesses de J., ce qui suffisait à le garder bien planté au fond de son rectum. Il commença à remuer avec des ondulations amples du bassin. Il n’allait pas vite, mais c’est son poids qui donnait toute leur puissance à ses coups de boutoir. Le visage de ma femme se tordait, mais il était difficile de dire si ses rictus étaient de douleur ou de plaisir. Elle ressentait au plus profond d’elle même cet homme qui la besognait. Je la vis porter sa main à son sexe, par dessous son ventre. Elle se mit à se branler devant nous, tâchant de se synchroniser sur les aller et retour de Mustapha dans ses reins. Le mouvement des doigts était aussi lent que celui du membre en elle. Il poussait, elle écrasait son clitoris. Il tirait, elle se caressait le tour du bouton avec son index d’un geste circulaire. Il poussait à nouveau, elle entrait trois doigts dans son vagin pour les lubrifier. Il ressortait et elle passait ses doigts sur le haut de sa vulve pour mouiller la jointure des lèvres.

On sentit que l’un et l’autre étaient unis dans la recherche de l’orgasme. Sans changer de rythme, ils ont fait doucement monter la jouissance. Bien que j’aurais dû être affligé par le spectacle, tout au contraire, j’étais fasciné par le plaisir de ma femme. J’étais toujours nu de ma partie basse et tout le monde voyait que ma queue était raide. Je bandais comme jamais, sans que je me touche. Comme avec Abdou, J. jouit ısparta escort au moment où Mustapha éjacula dans ses intestins. Les deux amants se libérèrent simultanément, lui se vidant, et elle prenant tout au fond d’elle-même.

Sami, dont c’était le tour, parla avec ses amis. Tous me regardaient au cours de leur échange. Après une longue discussion, ils s’activèrent. Mustapha et Abdou délivrèrent J. et ensuite, ils me dirent de m’allonger sur le dos sur le matelas. Ils firent asseoir J., le buste droit, les jambes tendues et écartées de part et d’autre de ma tête et ils lui commandèrent de me tenir les bras sous les épaules. Je comprenais qu’ils en avaient après moi et j’aurais dû me débattre, ne pas me laisser faire. Mais c’était tout l’inverse. Ma femme aussi était soumise. J’avais mon crâne près de sa chatte, dans la fourche de ses cuisses et je sentais son odeur de cyprine et de sperme mélangés. J’étais allongé dans le prolongement de ses jambes.

Abdou et Mustapha m’empoignèrent chacun une cheville et me levèrent les jambes à la verticale avant de les rabattre très écartées sur mon ventre. Ils pesaient de tout leur poids sur mes mollets. La position qu’ils me forçaient à prendre découvrait largement mes fesses et ma raie du cul, je le voyais bien. J’avais aussi conscience que J. était aux premières loges. Elle était même très participative en me maintenant fermement mes deux bras.

Je compris que Sami allait me violer et que J., qui avait sans doute compris elle aussi, non seulement ne s’y opposait pas, mais au contraire était complice. Elle penchait son visage au dessus du mien et me regardait dans les yeux, semblant vouloir me dire “C’est à ton tour. Tu verras comme c’est bon.”

Sami s’accroupit face à moi. Comme Mustapha, il cracha en visant mon anus, puis il me saliva l’œillet avec le plat de sa main. Il releva sa gandoura, nous dévoilant un sexe impressionnant. Il ne prit pas les précautions de Mustapha pour me préparer et m’assouplir le sphincter. Il se mit à genoux et vint directement poser son gland sur mon petit trou. Il écarta l’ouverture autant qu’il put avec ses deux pouces et en même temps poussa pour entrer. C’était si douloureux que je ne pus réprimer un cri, ce qui les excita. J. me regardait et en même temps observait le sexe qui commençait à me perforer. Ses yeux étaient brillants, sans doute captivés par ce qui se déroulait. Mustapha fit encore tomber de la salive et s’en servit pour mouiller sa queue. Il continua à écarter ma raie avec ses doigts et à faire progresser son membre. Il m’enculait à sec -cette expression traversa mon esprit- si ce n’était la légère lubrification salivaire.

Quand il fut assez profond, il leva ses genoux et appuya ses mains sur le dos de mes cuisses. Il pesa de tout son poids et m’empala jusqu’aux couilles. “Tu t’étais déjà fait enculer mon chéri?” me demanda J. Je grimaçais de souffrance mais j’eus la force de lui répondre “C’est la première fois. Ça fait horriblement mal.” Elle ajouta “Il t’a embroché jusqu’à la garde. Je suis impressionnée. Ça vaut vraiment le coup d’œil. Ça m’excite terriblement de te voir forcé comme ça.” En somme, elle profitait du spectacle. Inutile d’espérer l’apitoyer.

Sami commença à bouger en moi. Il procéda d’abord par petits à-coups dans le fond de mon cul. Il se contentait d’appuyer sur mes fesses, puis relâchait sa pression. “J’aime voir son cul qui monte et qui descend quand il te pilonne mon chéri. Il est très musclé et la contraction de ses fesses quand il s’enfonce, c’est émoustillant.” Me sentant moins crispé, il accéléra ses coups de reins et en augmenta l’amplitude. C’était assez surprenant parce que sans lubrifiant, je sentais son sexe glisser dans mon rectum. Sans doute étais-je capable de produire mes propres sécrétions. En quelque sorte, je mouillais du cul, ce qui permettait à Sami de faire coulisser sa bite sans que j’en ressente d’irritation. Sami a ralentit la cadence. Il ressortait tout, marquait une pause, puis me lardait à nouveau et recommençait. A ma grande honte, je dois avouer que j’aimais ce que je ressentais quand mon anus s’élargissait sous la pression du gland à l’entrée et aussi à la sortie. J’attendais le moment où Sami reviendrait en moi.

J. dit à Sami “Je voudrais que tu lui éjacules dans la bouche. Je voudrais voir s’il aime le goût du sperme. Tu veux bien Sami?” J’étais sidéré. Non seulement ma femme prenait plaisir à tout ça, mais voilà qu’elle proposait, qu’elle les incitait à m’humilier encore plus. L’idée galvanisa Sami qui se rua dans mes fesses sans plus se retenir. Il me défonçait littéralement. Il se retira soudain. Ma femme me pinça le nez, m’obligeant à respirer par la bouche. Quand j’ouvris mes lèvres, elle glissa son autre main entre mes dents. Comme je ne voulais pas la mordre, je gardais la bouche entrouverte et elle se chargea de me retrousser les babines, si bien que je reçus le jet sur la mâchoire. J. se chargea de recueillir la purée et de me l’étaler partout, sur la langue et autour du palais. “Tu aimes le goût?” Elle se lécha les doigts, se pencha et m’embrassa en tournant sa langue dans ma bouche. “Sami, mets lui ta queue dans la bouche. Ouvre grand mon chéri.” Je savais qu’il était inutile de résister et je m’exécutais. Sami avait encore du foutre qui sortait du méat et que je ne pus m’empêcher d’avaler étant donnée ma position sur le dos. Je dus enfin nettoyer la bite à Sami.

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Je Suis Tellement Désolée Ch. 03

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Amateur

Traduction d’un texte de FullyLoadedUK.

*****

J’envoie un dernier texto disant : « Il ne doit pas savoir que tu viens. »

En posant mon téléphone sur la table basse devant moi, je regarde les trois autres personnes présentes dans la pièce.

Assise sur la chaise à ma gauche, se trouve la femme que je pensais connaître le mieux, mais ce que j’ai vu hier me fait me demander si c’est vrai. Elle est belle avec ses cheveux blonds champagnes, raides et longs qui lui tombent aux épaules. Son corps est parfaitement proportionné, avec des seins suffisamment gros pour être remarqués, mais pas trop pour vraiment détourner l’attention par rapport à son apparence générale. C’est un corps pour lequel des filles de dix ans plus jeunes que ses vingt-huit ans meurent d’envie. Pour faire simple, avec son physique, elle pourrait être mannequin ou star de cinéma. Je pense qu’elle l’est un peu en quelque sorte. Si je ne suis pas sûr de la connaître vraiment, c’est que depuis un an, elle fait des vidéos pornographiques. Elle couche avec des inconnus sous les ordres de trois salauds que je veux abattre : mon patron, son patron et un proxénète de bas étage avec lequel ma nièce a des ennuis.

A côté de moi sur le canapé se trouve cette nièce Sharon. A dix-neuf ans, Sharon est tout aussi belle que ma femme, mais plus petite et plus jeune. Avec ses 1m62, elle est en dessous de la moyenne. Elle a des cheveux blonds sable ondulés longs jusqu’à ses clavicules. Ils encadrent son visage rond et ses yeux noisette étincelants. Son corps svelte est parfaitement proportionné pour une fille de dix-neuf ans, même si elle a peu d’estime pour lui. Elle s’est épanouie lorsqu’elle sortait avec un garçon dénommé William. Mais ses tromperies avec des prostituées ont anéanti ma nièce. C’est en partie de là que venait sa colère lorsqu’elle a tenté de l’écraser. Elle se disait qu’il ne voulait pas de son corps. Mais moi je pense qu’elle est belle et que l’homme qui finira avec elle sera le plus chanceux du monde.

De l’autre côté du canapé, se trouve la plus grande femme dans la pièce. Avec ses 1m80, elle est juste quelques centimètres plus petite que moi. Les longs cheveux noir de jais de Mary, avec des boucles et une frange sur le côté encadrent parfaitement son visage en forme de cœur. Ses yeux verts brillent de mille feux et trahissent sa beauté intérieure et son intelligence. Elle a une jolie silhouette en sablier qui est un peu lourde. Elle a les plus gros seins de toutes les femmes présentes, mais ça lui va bien. A trente ans, comme moi, elle prend un nouveau départ après avoir finalement laissé tomber son mari volage et apparemment gay. C’est lui qui s’est chargé de faire en sorte que le monde, ou du moins une grande partie de nos connaissances soit au courant de la carrière pornographique de ma femme. Il a téléchargé sur un site payant toutes les vidéos pour ensuite les mettre sur un site gratuit visible par tous. Il a partagé ce site avec tous ceux qui selon lui nous connaissaient et qui vraisemblablement en tireraient des sensations fortes. C’est un enfoiré et il vient en quatrième position des personnes dont je veux me venger, derrière les créateurs des vidéos. C’est Mary qui m’a parlé des vidéos et qui m’a hébergé la nuit dernière.

Le SMS que je viens d’envoyer fait partie d’une série que j’ai envoyée à la femme de mon patron. Je lui ai demandé de venir chez moi et que c’était important. Je lui ai demandé aussi de ne pas prévenir son mari. Je ne pense pas que ce soit un problème, car il est probablement au travail en ce moment. Je l’ai averti que je voulais lui parler de lui.

Je ne sais pas quoi faire en attendant qu’elle arrive. Nous ne pouvons pas discuter normalement après tout ce qui avait été dit. C’est là que quelqu’un a commencé à frapper à la porte d’entrée en criant :

– Salope : ramène tes fesses ici maintenant! Tu as du boulot!

Gillian pâlit et elle se met à trembler en disant :

– C’est un des gars de Dwayne. Il va forcer la porte et me traîner de force si je ne vais pas avec lui.

Ma résolution de la détester pour ce qu’elle avait fait s’effondre en la regardant. Oui bien sûr elle a admis avoir apprécié le sexe à un niveau n bestial, mais c’était toujours sous la contrainte et la voir ainsi maintenant me le montre. Tout comme de la voir se lever et commencer à marcher vers la porte, complètement défaite. Mary se lève d’un bond et la repousse vers la chaise en disant :

– Je m’en occupe!

Elle se dirige vers la porte, le téléphone allumé avec le numéro de la police composé et prêt à être appelé. Nous l’écoutons ouvrir la porte.

– Messieurs, je peux vous assurer que je ne suis pas une salope alors veuillez parler mieux. Maintenant que puis-je pour vous?

– On veut Gillian, la salope! Elle est où? Grogne l’employé de Dwayne, déconcerté par le comportement de Mary.

– Gillian est avec son mari chez le médecin. Dois-je lui dire que vous la cherchez? Vous êtes monsieur?

– Ce sont des conneries, je vois sa voiture!

– Et celle de son van escort mari n’est pas là. Que voulez-vous?

– Putain de conneries! Dwayne a dit qu’il savait qu’elle était là, que son mari ne veut plus rien à voir avec cette salope. Dégagez de mon putain de chemin maintenant.

– Regardez, je viens d’appuyer!

– Putain, elle a appelé les flics!

C’est ce qu’elle a fait, il ne faut jamais s’en prendre à Mary.

– Si vous partez maintenant, je ne prendrai pas de photos pour qu’ils puissent vous retrouve facilement. Je leur dirai simplement que deux hommes noirs sont devant ma porte et me menacent, qu’ils veulent entrer de force dans ma maison.

C’est alors qu’une voix sort du téléphone :

– Nous vous avons entendu Madame! Pouvez-vous nous donner votre adresse et nous vous envoyons une voiture.

Mary avait mis le haut-parleur. Je ne sais pas si elle l’a fait pour que nous entendions ou pour que les hommes noirs sachent que la police arrive. Elle donne l’adresse et ajoute :

– Oh, ils partent en vitesse. Je pense que ça va aller.

– Nous vous envoyons quand même une voiture pour vérifier que vous allez bien.

Mary ferme la porte et revient à sa place sur le canapé. Elle est rayonnante, Sharon un peu secouée et Gillian prête à vomir. Ces salauds l’impressionnent. Ça me fait un peu mal, mais je me souviens qu’elle a reconnu qu’elle aimait le sexe et qu’elle ne m’avait pas fait assez confiance pour me parler de ses problèmes.

Dix minutes plus tard, deux policiers se présentent à la porte et s’invitent à l’intérieur pour vérifier que nous allons bien et que nous ne sommes pas sous la contrainte avant de partir. Partir signifie se garer un peu plus bas dans la rue pendant les deux heures suivantes. Je pense qu’ils veulent s’assurer que les « amis » de Dwayne ne reviendraient pas.

Heidi, la femme de mon patron arrive un peu avant onze heures. Elle nous dit qu’elle avait un rendez-vous chez un coiffeur qu’elle n’avait pas voulu décommander parce qu’il était difficile d’en avoir un.

Je lui explique alors ce que son mari fait. Nous lui montrons quelques vidéos dans lesquelles on voit son mari. Mais comme il cache son visage, elle n’est pas convaincue que ce soit lui. Gillian lui fait alors écouter une conversation qu’elle a enregistrée sur son téléphone, où j’entends clairement mon patron ordonner à ma femme de baiser Charlie ou il y aurait des conséquences. Lors des prochaines minutes, Heidi montre toute une gamme d’émotions : Honte, colère, peur et embarras. Un autre divorce s’annonce alors qu’elle comprend ce que son mari fait.

Le fait qu’il soit propriétaire d’une partie de la société qui produit les films la dérange, mais le fait qu’elle y participe l’énerve vraiment. Elle appelle son comptable et lui demande de procéder à un audit complet des comptes de la société pour laquelle je travaille ainsi que de ses comptes personnels. Elle lui demande d’être le plus discret possible et quand il lui demande pourquoi, elle répond qu’elle a une offre d’achat pour cette société et qu’elle veut s’assurer que tout va bien étant donné qu’elle avait entendu dire que son mari n’était peut-être pas très honnête. Elle veut donc qu’il y jette un coup d’œil avant que la comptabilité de l’entreprise ne soit modifiée. Elle nous dit alors que son comptable est un vrai pitbull et qu’il trouverait s’il y avait quelque chose à trouver.

Gillian énumère ensuite les autres membres de l’entreprise avec lesquels elle a été obligée d’avoir des relations sexuelles. Il y a Charlie ainsi que quatre des six cadres supérieurs. Ce sont quatre hommes. Apparemment les femmes n’étaient pas intéressées ou n’étaient pas invitées. Charlie était le seul employé qui n’était pas cadre et d’après ce que je sais c’était juste pour se venger et s’assurer que Gillian ne parle pas.

Ensuite je suis surpris. Mon patron que je supposais être le propriétaire majoritaire de la société n’a que 10 % des parts de l’entreprise. Le reste des parts est détenu par Heidi et son père, ils ont 45 % chacun. Heidi montre une photo de son père à Gillian qui, heureusement, ne l’a pas reconnu.

C’est alors que nous parlons de la femme de Reggie, le patron de Gillian. Nous nous demandons si elle est dans le coup ou non. En fin de compte nous nous disons qu’elle ne doit pas l’être, alors nous parlons de la façon la plus rapide de la contacter. Le problème est résolu immédiatement quand Heidi nous dit qu’elles sont amies. Elle sort son téléphone et l’appelle, l’invitant à se joindre à nous avec les mêmes instructions que je lui avais données.

Pendant que nous attendons, Gillian nous dit qu’il y a des vidéos spéciales que Samantha, la femme de Reggie aimerait voir. Elle avait réussi à obtenir un nom utilisateur et un mot de passe pour accéder au système de sécurité de l’entreprise et elle l’avait utilisé pour recueillir des preuves sur les personnes qui l’avaient utilisée comme esclave sexuelle. En fin de compte elle a des preuves d’avoir été baisée par Reggie, Kat et le yalova escort meilleur vendeur de la société. Elle a même des preuves d’un viol d’une femme de ménage par Reggie et de la réunion où il l’a payée le lendemain pour qu’elle se taise. Ca me retourne l’estomac de penser aux femmes qui travaillent là et au danger qu’elle court.

Samantha n’a pas la même personnalité qu’Heidi. Doucement nous commençons à lui parler en lui montrant des vidéos de son mai et de Kat, la directrice financière. Cependant elle sait très bien que son mari a des relations avec d’autres femmes. Et ça lui va très bien tant qu’il ferme les yeux sur ses aventures à elle.

Nous passons à autre chose et lui montrons des vidéos où Gillian est forcée de faire des choses à Reggie ou Kat pendant leurs séances de sexe au bureau. Lui montrer le viol et la réunion après l’a fait jurer.

Elle demande alors à Gillian comment elle s’est retrouvée dans cette situation, ce qui s’est passé pour qu’elle se plie à ce point à leurs exigences. Gillian lui raconte tout. Nous lui montrons des vidéos postées sur le site gratuit où Gillian se produit avec son mari et d’autres participants.

Finalement, elle est consternée par le comportement de son mari. Elle est aussi troublée par le fait que Gillian ait volé l’entreprise. Apparemment, Gillian est l’une des rares employées dont Reggie vante les mérites.

Elle estime que la punition infligée à Gillian est bien plus grave. Elle ne dira rien pour le vol, mais Gillian ne peut plus travailler pour cette société et qu’elle ne peut pas, en toute conscience, lui fournir des lettres de référence ou permettre à d’autres dans l’entreprise de lui en faire. Elle nous dit que l’argent volé avait été probablement remplacé par son mari, sinon le comptable aurait découvert le trou dans les déclarations de fin d’année.

Nous ne comprenons pas pourquoi elle parle comme si elle dirigeait la société, mais en fait c’était le cas. Reggie et elle possédaient 20 % des parts chacun, le reste étant réparti entre son père et ses deux frères pour 10 % chacun, un de ses cousins pour 5 % ce qui donnait à Samantha 55 % des parts de la société avec droit de vote. Le reste était détenu par le père et la sœur de Reggie, Katsuko la directrice financière et le comptable. Avec sa famille, Samantha est majoritaire et peut faire le ménage. Et elle a confirmé qu’elle le ferait. Toute personne impliquée dans ces activités sexuelles sera virée. Il faut juste qu’elle décide quand et comment.

A ce moment, ma nièce dit :

– Ils sont venus chercher ici Tante Gillian, donc ils avaient probablement prévu de faire une vidéo aujourd’hui. Je parie qu’ils sont tous réunis. Pourquoi ne pas les dénoncer et demander à la police de faire une descente dans leur studio.

A la suggestion de Sharon, les deux femmes vérifient comment vont leur mari. Heidi appelle le bureau et demande à parler à son mari. On lui répond qu’il n’est pas là et qu’elle devrait l’appeler sur son portable. Samantha fait de même et obtient la même réponse. Elle demande également de parler à Katsuko, mais celle-ci est également absente du bureau.

En utilisant le téléphone prépayé et anonyme, Mary appelle la police pour signaler la présence de drogue à l’adresse du studio de cinéma que Gillian lui a donné.Ils avaient l’habitude d’utiliser le studio même si des fois ils se déplaçaient dans d’autres endroits comme le garage où Sharon avait vu William baiser, ou le restaurant où ils avaient baisé Gillian alors qu’elle passait une soirée avec moi.

Ensuite nous avons tous installé une application de chat cryptée sur nos téléphones et créé un canal sur lequel nous pouvions communiquer. Nous voulions que l’accès soit protégé par un mot de passe pour que les maris de Heidi et Samantha ne voient pas que nous nous parlions et voient ce que nous disions.

Mary, Sharon, Gillian et moi sommes allés à côté, chez Mary. Nous avons pensé qu’il ne valait pas mieux sortir avant de connaître les retombées de l’appel téléphonique. Heidi et Samantha sont rentrées chez elle. Elles ont promis de nous tenir informé de ce qu’elles découvriraient.

Une fois chez Mary, Sharon et Gillian se chargents de préparer le déjeuner, cherchant à se rendre utile et à faire pénitence pour l’année écoulée. Je m’assois sur le canapé et je réfléchis aux changements survenus depuis la veille. Je ne vais pas pouvoir retourner au travail. Mon cœur est brisé. Ma confiance est brisée aussi. Je ne vois pas comment je peux réparer tout ça.

Nous finissons de déjeuner quand tous nos téléphones sonnent. Nous nous précipitons pour nous connecter au chat et lire les nouvelles. Samantha vient de laisser un message : « En route pour le poste de police. Mon mari est accusé de possession et de vente de drogue. Je suppose qu’il en avait beaucoup sur lui. »

Heidi est en train de taper et nous attendons avec impatience son message. Quelques minutes plus tard, il apparaît : « Je suis au poste de police. Si tu es déjà partie Samantha, tu peux faire demi-tour. çorlu escort Ils ont plusieurs charges très graves sur le dos dont certaines dont on a pas parlé. Il y a : relations sexuelles avec mineurs, production présumée de pédopornographie, viols avec usage de drogues, kidnapping et séquestration. La bande de Dwayne est aussi accusée de résistance à l’arrestation et possession d’armes à feu sans permis. Ils ont même tiré, je crois »

Je tape : « Putain de merde! Ils sont tous inculpés? Qui? »

Pendant ce temps, Samantha a écrit : « Je n’ai pas quitté mon allée. Je rentre à la maison pour prendre un bon bain relaxant ».

Puis un nouveau message d’Heidi apparaît : « Il y a quatre des gars de Dwayne, mon mari, un de nos cadres, Reggie, kat, deux autres femmes et deux autres hommes. Ils ont aussi trois filles en protection préventive. Ils pensent qu’elles sont mineures et droguées. »

Mary écrit : « Connaissez-vous les noms des quatre autres personnes? »

« Non, ils n’ont pas voulu me dire. »

Alors qu’Heidi finit de taper ce message, le téléphone de Mary se met à sonner et elle répond :

– Allô… Perry? Qu’est-ce que je peux faire pour toi?… Tu es où?… Tu veux que je paie ta caution?… Quelles sont les charges?… Putain de merde, tu y es allé pour coucher avec Gillian?… Trouve quelqu’un d’autre pour payer ta caution. Et ne m’appelle plus jamais. J’ai vu la vidéo de toi et de ton amant, ton amant masculin! Je pense que notre divorce va être amusant. Je ne sais pas si tu seras au tribunal ou en prison, mais je pense que ce sera marrant quand je présenterai cette vidéo comme preuve. Salut, trou du cul!!!

Elle raccroche et nous regarde.

– Il y était. Je suppose qu’il s’est convaincu de baiser Gillian devant la caméra.

– Putain de connard! Crié-je en secouant la tête.

Gillian semble prête à s’effondrer en pleurs sachant que s’il n’y avait pas eu ces révélations, elle aurait dû le baiser aujourd’hui. Je sais bien qu’elle ne l’a jamais aimé auparavant.

La conversation continue entre nous quatre sur ce que nous pensions qu’il allait se passer ensuite. On s’est dit que ça allait dépendre si l’un d’entre eux s’en sortait. Ils allaient sûrement se douter que Gillian ou moi les avions dénoncés. Ils risquaient de s’en prendre à nous.

Nous sommes en début de soirée et nous n’avons rien de nouveau quand on sonne à la porte de Mary. Elle va ouvrir et nous l’entendons inviter la personne à entrer dans la maison.

Elle arrive la première dans le salon et nous dit :

– Voici l’inspecteur Thompson, il vous cherche, Gillian et Bob!

Je me lève et je lui tends la main :

– Inspecteur, que pouvons-nous faire pour vous?

– Je voudrais vous parler de quelques arrestations faites dans une entreprise de la ville. Une société dans laquelle vous et votre femme sembleraient impliqués. Mais peut-être est-ce mieux de faire ça en privé? Peut-être au poste ou chez vous?

Je regarde autour de moi, puis je me tourne vers lui :

– Inspecteur, les personnes présentes ici sont toutes impliquées plus ou moins avec les arrestations faites aujourd’hui. Mary, ma voisine, est celle qui vous a donné le tuyau et apparemment vous avez arrêté son mari volage dans votre descente. Sharon, ma nièce est la raison de l’implication de Gillian. Gillian a été impliquée par chantage et non parce qu’elle est employée. Ils l’ont forcée à jouer l’actrice porno et ne l’ont jamais payée pour ça. Quant à moi, je ne savais rien jusqu’à hier soir. Je ne savais même pas où était ce studio avant que Gillian le dise à Mary avant de vous appeler.

– Pouvez-vous le prouver?

Gillian réagit :

– Ils ont des vidéos de Sharon et moi en train de commettre un crime. Elle a renversé des gens avec sa voiture et elle s’est enfuie. Elle a fait ça, car cinq hommes agressifs l’ont poursuivie. J’ai volé de l’argent pour payer ces hommes après qu’ils eurent abusés de mon corps.

– Ils me font chanter avec la vidéo de Sharon renversant son petit ami, celle où ils abusent de moi dans le parking et celle où je vole l’argent pour sauvegarder l’emploi de mon mari. Puis avec les vidéos où ils me forcent à avoir des relations sexuelles devant la caméra avec plusieurs hommes. Ces vidéos peuvent être achetées sur un site, mais des copies pirates ont aussi été mises sur un site gratuit par le mari de Mary. Il a partagé son site avec tous les voisins dans la rue et probablement avec toute personne qui peut trouver intéressant de les regarder.

– Le plus triste dans tout ça, c’est que mon corps a réagi favorablement par ces séances brutales. j’étais une proie facile pour eux. Les chefs de ce réseau sont mon patron, le patron de mon mari, la directrice financière de mon entreprise et un proxénète appelé Dwayne. Je ne connais pas son nom de famille, mais c’est lui qui fournit des femmes avec qui j’ai dû travailler. Tous les hommes sont les amis et les collègues des deux patrons, ainsi que la quatre hommes de main de Dwayne.

– Je suis sûre qu’il faut que vous voyiez les vidéos. Mon mari peut vous indiquer le site gratuit sur lesquelles elles sont. Il a découvert toute l’affaire, car quelqu’un lui a envoyé ce lien. C’était hier pendant que je me faisais baiser par tous les connards que vous avez arrêtés aujourd’hui.

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La Sniper Ch. 01

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Ayisha Cottontail

La Sniper Ch01

Mila vérifia le camouflage du canon de son PGM .50 en ce compris le silencieux et reprit la surveillance de la route de Koursk. D’après ce que la tablette de Valentyn relayait de la part du drone de sa section, un camion Shaman 5 tonnes allait bientôt surgir sur la route, à près de deux kilomètres de sa position.

Au bout d’une attente qui lui sembla interminable, le tout-terrain russe surgit au détour d’un virage, en plein centre de sa lunette de visée.

Le Shaman était un remarquable 8×8 mais péchait par sa lenteur, surtout avec sa carrosserie alourdies de plaques de blindage pour protéger l’équipage de ce camion civil réquisitionné pour l’invasion de l’Ukraine. Vu son prix, il devait contenir une cargaison précieuse ou un personnage important pour le risquer si près du front. Elle engagea une cartouche explosive et visa le radiateur non-protégé du camion.

« PLOP » et moins d’une minute plus tard, l’avant du 8×8 disparut dans la fumée.

Quelques instants après, le chauffeur et son convoyeur descendirent, ouvrirent le capot et essayèrent de déterminer l’origine de la panne sans réaliser immédiatement qu’elle était due à un tir ennemi.

Les portes arrières s’ouvrirent et trois autres soldats descendirent du véhicule, AK47 en main.

En moins de trois secondes, les cinq hommes furent abattus par les autres snipers de la section positionnés près d’un kilomètre devant Mila avec leurs armes de précision plus légères que son fusil anti-matériel.

Trois formes en tenue de camouflage et couvertes de branchages progressèrent vers le camion immobilisé. Dans sa lunette de visée, elle repéra une silhouette qui s’échappait de l’épave et prenait la fuite perpendiculairement à la route. Elle sélectionna une cartouche sous-calibrée et visa la jambe du fuyard.

« PLOP » . L’homme s’effondra. Via le réseau de son groupe, Mila intervint :

« Papa4 à Papa1. Ennemi blessé à 50m NE. »

« Papa1 à Papa4, tu es sure qu’il est toujours vivant? »

« Si je te le dis ! »

« OK Papa4 ; si c’est un officier, on le récupère et on se regroupe autour de toi ! »

Une demi-heure s’écoula avant que Valentyn, Miroslav et Andry la rejoignent. Ils poussaient devant eux un homme en uniforme russe sans grade apparent avec la jambe gauche grossièrement bandée.

« Joli tir » commenta Miro. « Tu lui as traversé la cuisse sans rien toucher de vital. Je pense que c’est un FSB. On le ramène avec nous. »

Mila acquiesça. Un homme de l’ex-KGB aussi près de la ligne de front devait détenir des informations intéressantes. Il fallut un peu le bousculer pour le forcer à avancer sur sa jambe blessée jusqu’à l’antique Lada Niva pick-up qui justifiait leur appellation de ‘section motorisée’. Miro prit le volant avec Val et sa tablette à ses côtés. Andry attacha le prisonnier à la carrosserie ouverte à l’arrière tandis que Mila fixait son PGM sur le toit de la cabine, prête à faire feu sur tout véhicule moins blindé qu’un char d’assaut.

Ils progressaient à travers bois par de vagues chemins forestiers, ne s’arrêtant qu’à l’entrée d’une clairière voire d’une prairie. Val envoyait alors le drone en reconnaissance avant que Miro ne traverse l’espace découvert à tombeau ouvert, secouant les passagers comme des pruniers, surtout ceux de la plateforme arrière. Les courts cheveux blonds de Mila volaient alors de tous côtés et elle remerciait en elle-même sa mère de lui avoir trouvé un soutien-gorge aussi ferme sinon sa forte poitrine aurait menacé de se décrocher.

A la tombée de la nuit,pas question d’allumer les phares et Miro s’arrêta enfin dans un sous-bois particulièrement touffu. Les membres de l’équipe descendirent de leur véhicule avec un soulagement évident. Andry resta à surveiller le prisonnier tandis que les autres s’éclipsaient pour faire leurs besoins. Puis ce fut le tour d’Andry et du prisonnier. Ils mangèrent ensuite leurs rations froides pour éviter toute fumée ou un arôme de cuisson qui pourrait attirer un animal ou pire, un soldat russe.

Tout en mangeant, Mila repéra les signes de tensions chez ses frères d’armes. Dès leur première mission, elle avait compris que l’équilibre de son groupe reposait sur leur faculté de récupération nerveuse après un engagement. Elle avait donc mis les choses au point avec eux : dès que possible après une échauffourée, elle les laisserait la baiser, tous les trois, l’un après après l’autre. Ils pourraient se soulager en elle mais de préférence sans l’oublier elle-même. Et ce ne serait que pour le sexe. Pas de sentiments. Et si elle oubliait sa pilule contraceptive, ce serait ceinture pour tout le monde !

Ils avaient fini par adopter un ordre de bataille satisfaisant : d’abord Andry qui était le moins membré et éjaculateur plutôt précoce puis Val qui parvenait parfois à la faire jouir et enfin Miro, le plus âgé et doté d’un calibre imposant qui la faisait à chaque fois chavirer en profitant de la lubrification déposée par les deux autres.

« Il est bien attaché? » demanda- t’elle en désignant du menton le trabzon escort Russe adossé à un arbre tandis qu’elle débouclait sa ceinture.

« Sauf s’il peut déraciner l’arbre, il ne bougera pas » se défendit Andry. « Tu veux que je lui bande les yeux? »

« Pourquoi faire? Peut-être que cela va réveiller sa petite bite de nous voir baiser comme des bêtes? » ricana t’elle en étendant son pantalon sur le sol avant de s’y prosterner à quatre pattes, sa croupe nue invitant le premier de ces messieurs.

Andry ne se fit pas prier, sortit sa petite verge pourtant pleinement érigée, cracha dans sa main et s’en servit pour badigeonner son membre. Il aurait pu s’en passer car Mila était particulièrement humide … et chaude ce soir. Entre l’exaltation de leur victoire et l’exhibitionnisme devant leur prisonnier, elle gémit même lorsque Andry la pénétra, s’accrochant à ses hanches pour s’enfoncer aussi loin que ses dimensions modestes le permettaient.

Comme d’habitude, il jouit sans honte au bout de quelques allées et venues et se releva rapidement pour laisser la place à Val qui s’astiquait déjà copieusement. Ce dernier connaissait maintenant bien les goûts de sa camarade et l’empala d’une seule traite lui arrachant un petit cri avant de la pistonner sans relâche.

Mila regrettait d’avoir gardé le haut de son uniforme car ses lourds seins l’élançaient et elle aurait bien aimé se les triturer pendant leur accouplement. Ou même mieux, qu’un de ses hommes les malaxe pour leur plus grand plaisir commun. Le summum aurait été qu’Andry lui suce les mamelons … le garçon avait une technique incomparable !

Son excitation monta encore d’un cran ou deux et elle sentit une boule se former au creux de son ventre et encouragea son partenaire :

« Oui … Val … continue … baise-moi … plus fort … je … je… VIENS ! »

Son vagin se contracta spasmodiquement autour du phallus qui, au même moment, entra en éruption et l’inonda jusqu’à son tréfonds.

Lorsqu’elle rouvrit les yeux, elle ne put s’empêcher de jeter un coup d’oeil au prisonnier attaché à son arbre. En apparence il restait impassible mais une énorme bosse déformait l’avant du pantalon de son treillis. Il avait même l’air plus membré que Miro qui cherchait avec difficulté à pénétrer sa fente contractée malgré l’abondante lubrification abandonnée par ses deux premiers amants.

Consciente de l’état d’excitation du voyeur russe, elle décida d’en rajouter :

« Vas-y Miro, déchire-moi … aaah … avec ton énorme … aaah … biiite ! Pousse … Aaahh .. tu me … tues .. Continue … aaahhh … à fond … baise-moi … mon taureau … ooohhh… YEEEOOOHHH … AAAHHHH … CONTINUE … BAISE-MOI … ENCOOORRE ! »

Le quadra y allait maintenant de bon coeur malgré l’étroitesse du fourreau pourtant dilaté à l’extrême. Il ne l’avait jamais connue aussi excitée même si chacun de leurs accouplements avait été une sacrée partie de chambre en l’air. Il sentit ses couilles s’enflammer et il se lança dans un sprint éperdu pour jouir en même temps que la femelle déchaînée sous lui.

Andry et Val les regardaient un peu jaloux de l’enthousiasme de la belle perforée par le mandrin de leur chef de section. Elle finit par hululer son plaisir tandis que Miro se pétrifiait, son bassin soudé aux fesses de Mila tandis qu’il éjaculait à gros bouillons en elle.

Elle s’écroula sur son pantalon qui absorba le sperme qui s’écoulait en abondance de sa fente toujours dilatée puis rassembla ses forces pour se rhabiller. Elle murmura « débrouillez-vous mais je prends la dernière garde. Besoin de récupérer bande de sauvages ! »

En fin de compte, ils la laissèrent dormir toute la nuit, ne la réveillant qu’aux premières lueurs de l’aube pour reprendre la route. Heureusement, après deux heures d’hors piste, ils finirent par arriver en territoire contrôlé par l’armée ukrainienne et surtout par sa défense anti-aérienne. Il purent donc se permettre d’emprunter une vraie route qui les emmènerait vers Poltava et le QG du corps d’armée.

Mila commençait à s’ennuyer devant la monotonie du trajet et se décida à étudier leur prisonnier. Il était grand, plutôt bien bâti et curieusement chevelu pour un militaire. S’il n’avait pas été un barbare russe -et FSB de surcroît-, il aurait pu paraître séduisant. Il la regarda comme elle le fixait et elle se perdit un moment dans le bleu de ses yeux avant de se reprendre et de l’apostropher en russe :

« Comment t’appelles-tu , tchékiste? »

« Youri »

« Youri comment? »

« Ben Youri Tchékiste, tu l’as dit toi-même »

Elle lui donna un coup de pied sur sa blessure mais il ne broncha pas.

« Ne joue pas au plus malin. Je parie que tu as une pièce d’identification sur toi. Si je dois la chercher moi-même, cela risque de faire mal. »

Il haussa les épaules

« Iouri Pavlovitch Simiakov »

« Grade? »

« Colonel »

« Si jeune? Alors tu es vraiment du FSB? »

Il rit franchement.

« Difficile à cacher. J’ai mon badge dans la poche tunceli escort arrière de mon pantalon . Vous auriez dû mieux me fouiller »

« Qu’est-ce qui amène un tchékiste à risquer sa vie au front? Quelques civils désarmés à maltraiter? »

« Là tu m’en demandes trop camarade. Il faudra plus que le spectacle dégradant d’une fornication entre sous-hommes pour me faire parler ! »

« Attends de faire la connaissance de la Louve, elle te fera passer le goût de la fornication ! »

Ils passèrent le premier barrage ukrainien et continuèrent leur route vers Poltava. Le QG était implanté dans la banlieue nord de la ville et ils s’y rendirent immédiatement pour faire leur rapport et remettre leur prisonnier à la hiérarchie.

« 5-1-0-0 . » annonça triomphalement Miroslav à leur major en entrant dans son bureau. Cinq morts et un prisonnier côté russe pour 0 mort et 0 prisonnier ou blessé du leur. Ils discutèrent encore quelques minutes de menus détails avant que le major ne congédie l’équipe qui se dirigea vers les quartiers de la troupe.

Mila put enfin se doucher du côté réservé aux femmes, heureuse de ne pas avoir de mâle en rut à ses côtés pour la première fois depuis une semaine. Soudain, elle entendit appeler :

« Caporale Polenko? Ludmila Polenko? »

Une petite silhouette féminine apparut dans l’embrasure de la porte du vestiaire. Mila rinça ses cheveux en vitesse et répondit « ICI ! »

Ilka Ivanova « La Louve » Vychenko était une légende au sein du corps d’armée. Au deuxième jour de l’invasion, alors encore civile, elle avait été faite prisonnière à l’est de Donetsk et violée des heures durant par des soldats russes. A la tombée de la nuit, malgré ses blessures, elle avait réussi à fuir, entièrement nue, en direction de l’ouest, précédée par les avant-gardes ennemies.

En chemin, elle avait réussi à surprendre une sentinelle qu’elle l’avait tuée avec sa propre baïonnette avant de s’emparer de son bardas et de se frayer un chemin vers les lignes ukrainiennes en laissant un traînée de cadavres derrière elle. Lorsqu’elle rejoignit enfin les troupes amies, elles était plus qu’à moitié morte et il lui fallut plus d’un mois d’hôpital pour être remise sur pied.

Depuis lors, quand elle ne participait pas à des raids destructeurs à la tête de son escadron spécial, elle s’était faite une spécialité de l’interrogatoire des prisonniers mâles dont elle arrachait les informations avec un raffinement de cruauté qui faisait frémir ses collègues des Renseignements ukrainiens pourtant peu farouches.

« Caporale Polenko, je suis venue vous inviter à assister à l’interrogatoire du tchékiste que vous avez capturé. »

« Heu, merci Capitaine mais je ne suis une qu’une sniper; je ne sais faire parler que mon fusil. »

« Justement, c’est le moment d’élargir vos compétences et le colonel souhaite justement que je forme d’autres femmes à mes techniques. Alors votre tchékiste est le cobaye parfait»

« Je veux bien essayer. Je m’habille et je vous suis »

« Pas besoin d’une garde-robe complète. Votre battle dress, un pantalon et vos sandales suffisent. »

« Mais .. .»

« Vous verrez bien, allez dépêchez-vous, votre homme nous attend ! »

Malgré l’inconfort de sa peau nue sous les rugueux vêtements, Mila parvint à rester à la hauteur d’Ilka qui dévala une volée d’escaliers avant de se diriger vers le fonds d’un long couloir où elles descendirent à nouveau une rampe qui semblait interminable.

« Un ancien abri anti-atomique qui date de la guerre froide » expliqua Ilka. « Un repère très pratique pour étouffer les cris » .

Au bas des marches, elle ouvrit une porte blindée et elles pénétrèrent dans une grande pièce baignant dans une lumière crue. Au milieu trônait une sorte de table d’examen gynécologique sur laquelle était étendu un homme entièrement nu à part un bandage à la cuisse gauche. Youri.

Ses jambes étaient écartées et fixées par des sangles aux repose-pieds. Ses bras et ses mains étaient également attachés par-dessous la table mais le plus surprenant était l’attirail dont il était affublé : des sortes d’électrodes scotchées aux mamelons et deux autres aux testicules qui pendaient sous une espèce de cage qui enserrait son pénis. La cage était reliée, comme les électrodes à un voltmètre posé sur une table voisine.

« Tu vois Mila – je peux t’appeler Mila? L’électricité à des effets changeants sur le corps humain. A très faible voltage, cela chatouille. Quand on augmente la dose, cela stimule les muscles ou en l’occurrence les zones érogènes, notamment l’organe dont les mâles se servent pour nous asservir ou nous punir. Et quand on arrive au maximum de ce que cet appareil peut fournir, tous les muscles se crispent douloureusement et leurs terminaisons nerveuses commencent à bouillir.

Mais le plus drôle, c’est quand leur bite se met à grossir avec le moyen voltage et qu’elle s’étrangle elle-même dans la cage. En alternant les voltages, tu arrives à les rendre impuissants à vie. Et tout cela sans laisser de traces uşak escort contrairement à ce que les bouchers du FSB font à nos hommes»

« A moins qu’il ne parle … »

« A moins qu’il ne parle, ce qui arrive malheureusement dans la plupart des cas !

Tu veux essayer?»

Mila hésita mais elle entendit soudain la voix provocante de Youri dans un ukrainien parfait :

« Elle ne le fera pas ; elle aime trop les bites et encore, elle n’a jamais essayé la mienne ! »

Furieuse, Mia tourna le bouton du voltmètre immédiatement en position médiane et Youri se cabra sous le brutal influx électrique. Il grinça des dents mais garda son ton bravache : « C’est vrai que cela chatouille ! »

Mais dans le même temps, elle vit les testicules prises de soubresaut et la verge commencer à gonfler jusqu’à remplir entièrement la cage. Seuls les mamelons ne bougeaient pas mais cela n’empêchait certainement pas le courant de les titiller sans merci.

Bientôt les chairs de la verge commencèrent à s’infiltrer dans les interstices de la cage et à prendre une teinte violacée.

« A ce stade-ci, il ne ressent qu’une douleur moyenne, ce qu’un homme tel que lui peut encaisser pendant des heures donc, nous allons y ajouter une source d’inconfort … Viens ici ma belle » dit-elle en lui faisant signe de s’approcher de la tête du prisonnier.

D’un seul geste, elle fit sauter les pressions de la battle dress de Mila qui s’ouvrit immédiatement en grand sous la pression de l’orgueilleuse poitrine de la sniper. Ilka lui caressa doucement les mamelons jusqu’à ce que les tétons pointent comme des balles de 5,56.

« J’espère que tu n’as rien contre les femmes mais de toute façon, dis-toi que c’est pour la patrie »

Elle obligea Youri à tourner la tête vers les deux obus de la caporale.

« Regarde bien, le boucher, c’est la dernière fois que tu bandes en voyant ces merveilles ! »

Puis sa main s’aventura sous le pantalon de Mila et elle continua :

« Hum, son clitoris est mouillé à souhait, cela doit l’exciter de se demander si ta bite se déchirera avant tes couilles ou l’inverse. Je crois qu’elle va jouir très vite … N’est-ce pas Mila? »

« Aaah … rrêtez … j’ai … honte … »

« Argh … tu n’avais pas honte … aarg … l’autre soir … quand tu as baisé tes trois … arg … coéquipiers-tueurs » grinça Youri qui transpirait maintenant à grosses gouttes.

« Ah petite coquine … tu as accepté d’être le hangar à bites de tes mâles? Donc un petit orgasme clitoridien ne te fera pas de mal pour changer ! C’est un ordre !» continua Ilka qui astiquait de plus en plus furieusement le bouton d’amour de sa subordonnée.

« Noooon … laissez-moi … je ne veu-eux paaaAAAAAHHHH ! »

Ilka la soutint à bout de bras tandis qu’elle tournait presque de l’oeil sous l’intensité d’un orgasme plus fort que tout ce qu’elle avait connu avec son équipe.

« Regarde … regarde je te dis … notre vaillant héros a joui rien qu’en te voyant prendre ton pied et malgré la cage. Il en a mis partout de sa maudite semence.

Le plus beau c’est qu’à cause de l’électricité, ni sa bite ni ses couilles n’en seront soulagés. Encore cinq minutes puis on passe à l’intensité maximale jusqu’à ce qu’il s’évanouisse. Tu verras qu’à son réveil, il sera nettement moins fringuant et qu’il va nous supplier de ne pas repartir pour un nouveau tour de manège ! »

Youri gémit, se cabra, se contorsionna dans tous les sens pour essayer vainement d’échapper à l’infernal courant qui traversait son corps mais à la grande surprise des deux femmes, il resta conscient. Ilka finit par arrêter le voltmètre.

« C’est un dur à cuire celui-là » commenta la Louve. « Que dirais-tu d’une petite variante à ma technique habituelle? »

Elle arracha les électrodes couvrant les mamelons et les testicules, laissant apparaître des zones de peau rouges vif. Puis elle voulut retirer la cage qui enserrait le pénis tuméfié mais elle resta coincée. Elle dut s’y prendre à deux mains pour arriver à ses fins, arrachant au passage un cri de douleur à sa victime. Sous les yeux ébahis de Mila, la verge se déploya alors dans toute sa longueur. En pleine extension, elle était encore plus imposante que celle de Miroslav même si de fins hématomes apparaissaient là où la grille de la cage l’avaient compressée.

« Elle m’a l’air à point » commenta Ilka en revenant vers Youri. Elle fixa avec une certaine difficulté un anneau à clapet à la base du membre hypertrophié puis un autre au-dessus des testicules qu’elle serra au maximum.

« Que penses-tu de ce beau sex toy? » demanda-t’elle à Mila « Jadis j’en aurais bien profité moi-même mais depuis que ces salauds m’ont forcée, j’ai le vagin trop sensible, surtout au niveau des points de suture. A toi donc de le violer mais rien ne t’empêche de prendre ton plaisir au passage comme avec tes frères d’arme. Ne t’en fais pas, lui ne pourra pas jouir en toi avec les anneaux qui l’enserrent»

« Mais je … non … je ne peux pas …ce n’est pas la même chose .. . »

« Ne joue pas à la pimbêche puritaine avec moi. Si je t’ai fait venir, c’est parce que tes compagnons se sont assez vantés devant une bouteille de vodka de leur bonne fortune de faire équipe avec une nymphomane. Alors, baise-le jusqu’à ce que ses couilles explosent de désir inassouvi ! »

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La Réunion

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Amateur

Traduction d’un texte de PAS.

*****

Julie entre dans la salle de conférence avec confiance. C’est une femme ravissante : Grande, un joli visage, de longs cheveux bruns et un corps qui exige de l’attention. Surtout sa poitrine qui fait du 100 D. Julie sait que les hommes aiment la regarder. Et elle en a toujours profité autant que possible tout au long de sa carrière.

A l’université, beaucoup de ses amis l’ont encouragée à faire du mannequinat. Elle a essayé bien sûr, mais elle a fini par faire certaines choses qu’elle regrettait, alors elle a été heureuse d’arrêter. Elle est devenue une femme d’affaires très professionnelle et prête pour une promotion à l’âge de 32 ans. Elle est mariée depuis six ans et elle a une fille de trois ans.

Julie regarde autour de la table. Elle est la seule femme au milieu de huit hommes. Elle s’assoit à côté de Billy, père de trois enfants et celui avec qui elle s’entend le mieux. Elle hoche la tête en direction des autres dans le sens inverse des aiguilles d’une montre.

A côté de Billy est assis Ron, l’aîné du groupe. Puis Carl et Eric, deux hommes célibataires dans la mi-vingtaine. Ensuite vient Harold, un homme corpulent avec un visage peu avenant et une attitude toujours grossière. Julie se demande comment sa femme arrive à supporter son comportement grossier. Puis il y a Franck, 37 ans, divorcé, qui a la réputation d’être un homme à femmes. Il se dit aussi qu’il a une grosse bite. C’est du moins ce qu’a entendu Julie de temps en temps. Franck ne lui plaît pas, mais il a beaucoup d’argent et il est toujours le mieux habillé au bureau. Souvent, elle se surprend à remarquer sa grande taille, ses grandes mains et ses grands pieds et elle se demande toujours si les histoires entendues sur la proportionnalité sont vraies. Mais Franck et Julie sont depuis toujours rivaux. Et c’est lui qu’elle cherche à battre pour la promotion.

Assis à la droite de Franck se trouve Doug, un travailleur gentil et fiable. Il est très intelligent, mais il ne se met jamais en avant. Lui aussi est divorcé et il a du mal à obtenir des rendez-vous même s’il est beau. Enfin, assis entre Julie et Doug, il y a Bob Carter l’actuel directeur de leur groupe. Il doit quitter l’entreprise et la raison de la réunion est qu’il doit choisir qui va le remplacer comme directeur.

Julie et Franck sont les préférés de Bob. Ron était le plus vieux et aurait pu être promu, mais ses résultats de cette dernière année ne sont pas aussi bons que ceux des deux autres.

Julie a toujours travaillé dur et elle a toujours réussi. De plus, aujourd’hui, elle utilise son apparence pour l’aider. Elle porte un chemisier rouge moulant qui accentue sa poitrine. Et comme d’habitude, elle remue sur son siège pour s’assurer que tout le monde regarde ses seins. Elle adore attirer le regard des hommes pendant qu’elle s’étire sur son siège.

Julie regarde sa montre. Il est 17 h 15. Elle déteste quand ces réunions se tiennent après les heures de bureau. Mais elle sait que celle-ci est importante pour sa carrière. Ils passent tous en revue leur rapport. Julie lit le sien d’une voix forte en soulignant que sa dernière négociation allait rapporter un bénéfice considérable à l’entreprise.

Ensuite, ils commencent à parler de la chose qu’ils attendent tous. Qui sera le prochain directeur, ou directrice comme Julie espère.

Bob est chargé de faire le choix final. Mais il voudrait l’avis honnête des sept autres pour voir s’il y a un consensus. Il sait que ce sera probablement Julie ou Franck, même s’il pense qu’il y en a d’autres qui feraient un excellent choix.

– Avant de trop avancer dans la discussion, je crois qu’il y a quelque chose que vous devez tous savoir. Dit Franck.

Il sort des enveloppes et les distribue à tout e monde autour de la table.

– Doug a fait récemment une découverte sur internet qui pourrait affecter la réputation de notre entreprise si c’est découvert, surtout sur le choix du nouveau directeur.

Julie entend des cris de surprise ainsi qu’un « Oh mon Dieu » quand les enveloppes sont ouvertes. Elle attrape rapidement la sienne et l’ouvre pour trouver plusieurs photos. Il s’agit d’elle à 21 ans, posant la plupart du temps complètement nue et quelques-unes la montre en train de faire des fellations.

Le cœur de Julie accélère à la vue de ces photos. Elle avait pris du retard sur certains paiements à l’université alors qu’elle expérimentait le mannequinat. Un de ses amis lui avait parlé de poser nue pour gagner plus d’argent. Avant qu’elle ne s’en rende vraiment compte, elle était passée de la pose nue à quelques films osés. Elle s’était toujours limitée à sucer le gars et à le faire jouir sur son visage, ou alors à se masturber devant la caméra. Quand elle avait arrêté, ayant suffisamment d’argent pour payer ses factures, elle ne s’était plus préoccupée des photos et de films. Aujourd’hui, elle pensait que c’était assez loin dans son passé pour ne plus avoir à s’en inquiéter.

– D’où tu les tiens? Demande-t-elle en forçant ses mots urfa escort à sortir de sa bouche.

Doug la regarde d’un air penaud.

– Je les ai trouvées sur un site payant que je visite de temps en temps. Je n’arrivais pas à croire que c’était toi alors je les ai montrées à Franck pour avoir son avis.

Julie est mal à l’aise avec les regards de huit hommes posés sur elle. Ils la regardent avant de revenir aux photos puis sur elle.

– C’était il y a onze ans. Ça n’a plus rien à voir avec celle que je suis aujourd’hui. Insiste-t-elle.

Franck secoue la tête.

– Je n’en suis pas si sûr. Nous avons une moralité assez stricte dans notre entreprise. Et notre réputation pourrait être en jeu si l’un de nos clients découvre cela. Surtout si tu deviens la directrice.

Julie comprend qu’elle est battue. Son passé est utilisé pour l’empêcher d’obtenir la promotion qu’elle désire. Bob prend alors la parole :

– C’est pire que ça. Je crains que cette découverte ne signifie que tu dois démissionner complètement.

– Non, je vous en prie, ne me forcez pas à démissionner. Si je perds mon travail, ma carrière sera ruinée. Surtout si la nouvelle que j’ai été remerciée pour avoir posé pour du porno. Supplie Julie pour garder son emploi.

Bob ne peut détacher ses yeux d’une photo de Julie, une grosse bite enfoncée à mi-chemin dans sa bouche et ses yeux regardant l’objectif de la caméra.

– Ne t’inquiète pas, je ne vais pas te virer. Mais une fois que j’aurai nommé mon remplaçant, les autres devront décider si tu peux rester dans l’entreprise.

– S’il vous plaît, c’était il y a longtemps. j’étais à l’université et j’avais besoin d’argent.

– D’après toi, ça vaut quoi de garder ton travail? Demande Harold.

– Que veux-tu dire? Questionne Julie.

Harold sourit d’un air vicieux en regardant les photos.

– Eh bien, je pense juste que ces photos peuvent définitivement ruiner ta carrière. Mais ce pourrait être encore pire si ton mari les découvre.

Julie reste sans voix. Son mari est un homme pudique et la découverte de ces photos pourrait le pousser à divorce. Et avec ça, elle se doute qu’elle perdra la garde de ses enfants. Harold continue :

– Mais nous pourrions oublier ces photos si tu nous fais une démonstration.

Julie est hébétée de voir que plusieurs de ses collègues semblent d’accord avec Harold.

– Tu veux que je te suce pour garder mon travail? Demande Julie.

– Tu nous suces et on te baise! Répond Harold.

Julie est tentée de leur faire une fellation à tous. Elle aime le faire tant qu’elle n’est pas obligée d’avaler. Mais elle n’est pas prête à se faire baiser. Même si elle a posé pour du porno et sucé des dizaines d’hommes cette année-là, elle n’a eu des rapports sexuels qu’avec quatre hommes dans sa vie.

– Je vais vous sucer, c’est tout! Dit-elle.

Elle n’arrive pas à croire à quelle vitesse ces hommes reculent leur chaise et défont leur pantalon.

– Déshabille-toi! Demande Ron.

Sa demande reçoit l’assentiment des autres hommes.

Vaincue, Julie se lève et se déshabille lentement jusqu’à se retrouver entièrement nue au bord de la table, exposée à tous ces collègues.

Billy, assis sur sa chaise, lui offre sa bite en érection. Julie tombe à genoux devant lui et prend son sexe dans sa bouche. Billy prend sa tête entre ses deux mains et guide sa bouche le long de sa queue. Julie a honte de ce qu’elle fait. Elle n’a jamais trompé son mari. Mais elle n’a plus vraiment le choix si elle ne veut pas perdre son emploi et peut-être son mariage.

Les hanches de son collègue commencent à remuer sur le siège. Elle comprend qu’il va bientôt jouir. Elle sent les mains se resserrer sur sa tête et la bite commence à gicler dans sa bouche.

– Avale Julie! Crie-t-il en éjaculant.

Elle veut essayer de retirer sa tête, mais les mains de Billy la tienne solidement. Alors elle déglutit avec dégoût, avalant le sperme salé. Billy continue de baiser sa bouche jusqu’à ce qu’il commence à débander.

Ensuite Julie se dirige vers Ron et prend sa bite dans sa bouche. L’homme se penche en avant et joue avec ses gros seins pendant qu’elle le suce. Elle sent ses tétons durcir alors que les doigts masculins les pincent. Puis, en seulement une minute, son collègue jouit.

Carl est prêt et il attend. Julie est surprise de voir que son entrejambe est rasé. Elle n’a jamais vu d’homme le faire. Bien sûr, elle-même se rase soigneusement la chatte, mais elle n’aime pas ça sur un homme. Carl attrape sa tête et enfonce sa bite dans sa bouche. Julie commence à sucer son troisième sexe de la soirée. Elle est vraiment dégoûtée de la situation, mais elle sent que l’humidité s’invite dans son sexe. Elle continue à sucer Carl jusqu’à ce qu’il vide ses couilles dans sa bouche. Comme Billy, il lui tient la tête pour la forcer à avaler son foutre.

Eric n’a pas attendu qu’il vienne à elle. Il se tient juste à côté de Carl quand celui-ci retire sa bite. Eric saisit Julie sivas escort et enfourne sa queue dans la bouche de sa collègue. Il baise sa bouche pendant qu’elle le suce et ça dure juste un peu plus longtemps que Ron avant qu’il n’éjacule.

Puis vient l’homme qu’elle n’aime pas, Harold. Il est vulgaire et obèse. Elle n’a pas envie de toucher sa bite sûrement visqueuse.

– Monte sur la table! Ordonne-t-il.

Julie obéit et s’allonge sur le dos, la tête suspendue au bord de la table. Harold presse sa queue dans sa bouche jusqu’à ce que ses couilles poilues touchent ses yeux. Il tend la main et prend ses gros seins dans ses mains pour les tripoter. Julie gémit alors qu’il sert fort et commence à baiser son visage durement et rapidement, enfonçant sa bite profondément dans sa gorge. Julie veut se lever, mais elle est maintenue en place par les grosses mains qui malmènent ses seins.

C’est alors qu’elle sent quelque chose entre ses jambes. Elle réalise que quelqu’un touche sa chatte. Elle marmonne quelque chose d’inintelligible quand elle sent un doigt glisser dans sa fente.

– Putain les gars, elle mouille! Crie Franck à la grande honte de Julie.

– Je savais que cette garce aimait ça! Dit Harold en enfonçant son engin plus profond das sa gorge.

C’est avec un grand soulagement pour Julie que Harold jouisse et sorte de sa bouche. Franck prend alors sa place. Les yeux de Julie s’écarquillent quand elle voit pour la première fois le sexe de son collègue. La bite fait bien vingt-cinq centimètres et il a bien l’intention de baiser sa gorge comme Harold vient de le faire.

Harold avait été vicieux, car il savait qu’il dégoûtait Julie. Mais Franck est pire. En partie parce qu’il la viole tout en sachant qu’il lui vole sa promotion, mais aussi parce que son énorme queue l’étouffe alors qu’elle s’enfonce dans sa gorge encore et encore. Comme Harold, Franck s’agrippe à sa grosse poitrine, mais moins violemment que l’obèse. Malheureusement pour Julie, Franck dure plus longtemps que les autres et martèle sa bouche pendant plusieurs minutes avant de gémir de plaisir alors que sa bite gicle dans sa gorge.

Doug l’aide à descendre de la table et à s’agenouiller pour qu’elle puisse le sucer. Julie est impressionnée que pour un homme aussi mince, sa bite est plus grosse que la moyenne. Elle suce l’homme qui a découvert son passé caché pendant qu’il lui caresse doucement les cheveux. Ça fait un moment que Doug n’a pas touché une femme alors il profite des douces lèvres de Julie sur sa bite jusqu’à ce qu’il explose dans sa bouche.

Enfin c’est au tour de Bob d’enfourner sa queue dans sa bouche. Il la laisse faire sa fellation et, comme Ron et Eric, il met peu de temps pour éjaculer.

Quand Bob a fini, Julie s’essuie la bouche en essayant d’oublier en vain le goût de leur sperme. Elle se lève lentement et leur fait face.

– Voilà! Vous êtes satisfait maintenant? Demande-t-elle avec une grimace de dégoût.

Harold répond alors en regardant ses collègues :

– Je ne crois pas qu’elle ait tout compris. Elle est toujours arrogante. Je propose qu’on la baise maintenant!

– Oh non non! Dit Julie en s’approchant de ses vêtements.

– Attrapez-la! Crie Frank.

Julie est saisie par les hommes qui la tirent sur la table. Elle lutte et crie, mais elle est maintenue couchée. Harold s’agenouille entre ses jambes et commence à lécher sa chatte humide. Julie se débat sur la table en essayant d’échapper à la langue, mais ce n’est pas la peine.

Pendant qu’Harold mange sa chatte, les autres en profitent pour la tripoter de partout. Puis Eric monte sur la table et chevauche sa poitrine. Julie lève la tête pour le voir placer sa bite entre ses gros seins qu’il serre ensemble. Il branle sa queue entre ses nichons pendant qu’Harold continue de grignoter son sexe humide.

Julie sent que sa chatte répond à ces stimuli. Elle sait que ce vicieux d’Harold veut lui provoquer un orgasme. Elle essaie de combattre la montée de plaisir, mais la langue de l’homme travaille sur son clitoris alors qu’il la pénètre avec deux doigts. L’inévitable arrive, elle gémit contre sa volonté alors que son corps subit un orgasme.

Tandis qu’elle jouit, Eric se branle entre ses seins à un rythme effréné. Puis Julie sent Harold s’éloigner de sa chatte avant de sentir sa bite frotter ses petites lèvres.

– S’il te plaît, ne me baise pas! Supplie-t-elle.

Mais l’homme obèse enfonce sa bite en elle. Juste au moment où il commence à la baiser, Eric presse sa poitrine plus fort et commence à gicler son foutre sur son cou et son menton.

– Oh putain, tu as une chatte bien chaude! Crie Harold en labourant son trou.

Puis il crie :

– Putain, je jouis…

– NON, pas en moi! Supplie Julie.

Mais Harold la pistonne encore plus fort et plus vite alors que sa semence pénètre profondément dans sa chatte.

Ensuite vient Billy, le gentil collègue dont elle a toujours été proche.

– Désolé Julie, mais je ne peux pas résister tekirdağ escort à l’opportunité de te baiser. Dit-il en glissant sa tige raide dans sa chatte.

Il se penche en avant et suce son mamelon droit pendant qu’il la baise. Cela provoque une réaction en Julie et elle voit son corps répondre à nouveau. Elle se surprend à monter ses hanches alors que Billy la baise. Et elle sent l’orgasme se rapprocher. Elle est sur le point de jouir quand il éjacule et se retire.

Ron lui saute dessus. Il ne la baise pas depuis trente secondes que Julie jouit. L’homme sent son orgasme et la regarde avec une satisfaction suffisante tout en continuant à la marteler. Il la baise jusqu’à ce qu’elle ait un troisième orgasme avant de jouir à son tour.

Julie tremble de tout son corps quand Ron se retire de sa chatte. Pour quelqu’un qui avait joui si vite quand elle l’avait sucé, il avait duré plus longtemps que prévu pour la baiser. Elle regarde alors la longue et épaisse tige de Franck. Elle écarte les jambes, impatiente de sentir une si grosse queue en elle.

– Tourne-toi! Lui ordonne Franck.

Julie roule sur le ventre et l’homme la tire en arrière de sorte que ses pieds touchent le sol alors qu’elle est penchée sur la table. Elle gémit doucement alors que la bite entre lentement dans sa chatte humide.

– Ta chatte a été un peu trop utilisée pour moi. Il est temps d’essayer un autre trou. Dit Franck.

– NON! Crie-t-elle en comprenant son intention avant même que la bite ne commence à se frotter sur la raie de son cul.

Julie n’a jamais permis à personne de la sodomiser. Et elle ne veut sûrement pas commencer avec un sexe aussi gros.

Elle est maintenue en place pas ses autres collègues alors que Franck presse son sexe, lubrifié par le mélange de jus féminin et de sperme, contre son petit trou plissé. Julie crie quand il commence à pénétrer petit à petit son trou du cul. Julie pense qu’il va la déchirer alors que la bite continue à s’enfoncer. Puis, tandis qu’il est à mi-chemin, il commence à la baiser avec des mouvements lents, détendant son trou du cul jusqu’à ce qu’il soit capable de faire entrer entièrement sa queue en elle.

Julie hurle une fois de plus alors que la bite de Franck la fore complètement. Son rival prend un grand plaisir à pénétrer son cul vierge avec son énorme bite. Julie ne peut rien faire d’autre que de rester allongée pendant que Franck l’encule de plus en plus fort et rapidement pendant plusieurs minutes.

Quand il se retire, elle est saisie et tirée au sol. Doug se place sous elle et elle empale sa chatte sur sa bite. Elle est contente qu’il ne veuille pas suivre l’exemple de Franck. D’autre part, comme sa chatte picotait de plus en plus quand Franck l’enculait, elle sait qu’elle a besoin d’une autre bite dans sa chatte.

Une fois que Doug est en elle, elle est prête à le chevaucher, mais elle sent quelqu’un derrière elle. Elle se tourne et voit Bob qui présente sa bite sur son cul.

– Non je t’en prie… Supplie-t-elle.

– Je veux aussi ce cul! Répond l’homme en enfonçant sa queue dans le petit trou déjà utilisé.

Julie se retrouve pris en sandwich. Les deux bites s’enfoncent en elle simultanément. La douleur traverse son corps. Mais cette douleur la remplit aussi de plaisir et elle se retrouve à avoir plusieurs orgasmes entre les deux hommes qui la baisent vigoureusement. Bob est le premier à jouir. Il éjacule dans son cul, mais continue à la baiser alors qu’elle pousse ses hanches de haut en bas sur la queue de Doug jusqu’à ce qu’il jouisse lui aussi.

Quand les deux hommes se retirent, elle est saisie par Carl et Eric qui suivent l’exemple de leurs collègues. Carl pénètre sa chatte alors qu’Eric l’encule. Julie pleure de douleur et de plaisir alors qu’elle jouit encore et encore jusqu’à ce que les deux hommes éjaculent eux aussi.

Enfin, Julie reste allongée sur le sol, incapable de comprendre à quel point elle a aimé être baisée par ses huit collègues. Même si elle a été forcée, c’est devenu l’expérience la plus satisfaisante de sa vie. Elle reste immobile, trop fatiguée pour bouger. Elle sent le sperme couler de sa chatte et de son cul pendant que les hommes s’habillent. Bob prend alors la parole :

– Pour en revenir à ma succession dans l’entreprise, il est temps que je vous fasse connaître ma décision.

Franck baisse les yeux sur Julie et sourit avec triomphe avant de revenir vers Bob.

Celui-ci s’éclaircit la gorge et commence à boutonner sa chemise.

– Je recommande Doug pour être le prochain directeur.

– Doug? Dit Franck sous le choc.

Bob continue :

– Oui, Doug! Non seulement il est parfaitement capable de diriger, mais c’est lui aussi qui a trouvé ces photos. Il a aussi réussi à amener deux d’entre vous à les utiliser pour forcer Julie à nous baiser tous. Et pour garder son travail, elle devra continuer à baiser. C’est une très bonne gestion des effectifs.

Tout le monde sauf Franck approuve la décision de la promotion de Doug. Celui-ci accepte bien sûr.

– Je crois que je vais transférer Franck et Harold dans nos filiales. J’ai des amis qui seront heureux de venir travailler avec moi, surtout avec Julie comme collègue. Mais vous pourrez revenir chaque fois que vous le souhaitez pour certaines réunions en fin de soirée.

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La Soumission d’Isabelle 01

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Creampie

Je me dirige vers l’appartement de Claire, ma copine de travail. Je me perds dans mes pensées. Je suis triste au fond de moi. Mon mari Laurent est en déplacement professionnel, nos jumelles sont en classe de neige avec l’école.

Je suis triste, cependant je comprends. Il travaille tellement dur pour avoir de l’avancement. Il se donne à fond, cette année, il pense que cette fois ci, c’est la bonne, son chef le lui a dit. Ce n’est pas le moment de refuser ce déplacement.

Je me présente, Isabelle, quarante ans. Je suis brune, cheveux jusqu’aux épaules, un mètre soixante dix, yeux verts, une femme plutôt normale.

Ma copine, Claire est enceinte de quatre mois, un petit ventre rond avec le moral dans les chaussettes. Ces derniers temps, ses hormones la travaillent, elle alterne régulièrement entre phase d’euphorie et de déprime. A midi, elle me téléphone, avec une voix grave.

Elle me dit seulement : – Comme, je sais que ton mari est parti pour son travail, aussi que tes jumelles sont en classe de neige, qu’ainsi tu es toute seule. J’ai besoin d’un service, tu peux venir chez moi ce soir ? Tu feras la connaissance de Julien. Dis pas non, s’il te plaît. Tu connais mon adresse. Avant même d’avoir pu lui répondre quoi que ce soit, elle m’a raccroché au nez. J’ai senti que c’est important pour elle.

Arrivée chez eux, je retrouve la petite Claire, c’est un beau brin de fille, une petite brune aux yeux pétillant. Comme à l’habitué, je pose une main sur son ventre en lui faisant la bise sur les joues. Je lui demande comment ils vont tous les deux. Elle me répond que tout va bien puis me présente à son Julien. Ils sont un peu plus jeunes que moi, mais l’osmose est bien présente.

Nous prenons l’apéritif, avec un Ti punch est assez corsé. Claire descend son jus de raisin d’une seule traite puis s’éclipse. Elle me laisse avec son homme. Il me parle de sa femme qu’il aime plus que tout.
– Ces derniers temps, avec sa grossesse, la vie n’est plus la même. Elle a le moral qui joue aux montagnes russes. Et aussi le petit homme la chamboule aussi parfois, lui donnant des coups de pied, elle aime et ça lui fait mal aussi. Il y a également.
– Doucement Julien. J’ai déjà eu deux enfants, je sais ce que sait. Lui dis-je d’un air blasé.

On rigole, il s’amuse de cette situation, il me comble de remerciements pour l’amitié que je voue à sa femme. Il me confirme que je suis sa meilleure amie, sa confidente. Je ne pensais pas qu’elle m’aimait autant que ça. C’est flatteur, je ne la connais pas si bien que ça et pourtant je reste persuadée qu’elle le mérite grandement.

Claire revient, elle est euphorique, je pense qu’elle s’affairait en cuisine, mais en fait elle était partie se changer. Après un bref échange entre eux, je comprends qu’elle est de nouveau partie dans ses délires. Madame veut aller en boîte avant même d’aller manger. Je m’en amuse, allant de surprise en surprise. Julien semble surpris, limite choquée de sa demande. A plusieurs reprises, il la questionne.
– T’es vraiment sûre de vouloir y aller ? Tous les trois ?

La proposition de sa femme semble le tourmenter.
Ils sont beaux tous les deux, si amoureux l’un de l’autre. Je sais que ça n’a pas toujours été comme ça. Au début de leur mariage, Julien est un peu jaloux. J’ai cru comprendre que la brunette était en couple avec une fille avant lui. Elle ne me l’a jamais vraiment dit, cependant elle me l’a fait comprendre, à sa façon. Du coup, il n’accepta pas qu’elle ait des amis aussi bien masculin que féminin.

Depuis le temps est passé, je dois être sa seule amie.
– T’inquiètes, pas Julien, Isabelle est une grande fille, je suis sûre qu’elle en a vue d’autre. Et même si elle ne connais pas la GROTTE BLEUE, je suis certaine qu’elle va adorer.
– Non, ma Claire, c’est pas raisonnable, tu es enceinte de quatre mois et tu veux aller danser en discothèque avec le bruit, le risque d’être bousculé !
– Isabelle, t’inquiètes pas ma chérie, là-bas, rien de tout cela n’arrivera, demande à Julien, la musique est douce et les gens savent se tenir.

Une demi-heure plus tard, nous sommes dans le vestiaire de la soi disant discothèque. Je ne m’attendais pas à cela, c’est un club très privé. Je ne savais pas ma copine aussi coquine à ce point. On se retrouve nue l’une à côté de l’autre, Claire me tend un peignoir, elle a le même.
– Je ne savais pas que toi et Julien, vous aimiez les clubs libertins.
– Je sais ma chérie, je ne t’ai pas tout dit sur ma vie. J’ai quelques zones d’ombre qu’il m’est difficile de dévoiler comme celle-là. Ce soir c’est l’occasion. Éclate toi si tu veux, où contente toi de regarder. Mais, reste avec kütahya escort nous, si quelqu’un te demande t’as qu’à refuser poliment, en toute logique la personne s’éclipsera discrètement. C’est la règle ici.
– Je n’ai pas envie de paraître vieux jeux, mais, tu comptes faire quoi ici ? Moi je n’ai mon Laurent et ça me convient très bien, je n’ai pas envie d’autre chose.

– Isabelle, ne stresse pas. Avant ma grossesse, avec Julien, on venait souvent ici. Depuis, on a levé le pied. Parfois c’est, juste pour mater où faire l’amour à côté d’un autre couple, rien de plus. Oui ! J’avoue, il est possible qu’on ait une fois ou deux opéré, quelques mélanges, mais c’est rare. Aujourd’hui, c’est notre anniversaire de mariage, je souhaitais le partager avec toi, mais aussi faire plaisir à mon Julien d’amour. Alors, on va se trouver un petit salon, ainsi tu n’auras qu’à nous regarder, rien de plus.

T’imagines même pas ce que ça me fait de nous savoir épié dans l’intimité. Si t’as envie de te faire plaisir, n’hésites surtout pas, ce sera le meilleur des cadeaux que tu puisses me faire. C’est si excitant de voir une femme se faire plaisir en nous regardant faire l’amour. Avec Laurent vous devriez essayer un jour. Tu verras à quel point ta libido sera décuplée. Moi, rien que d’y penser, ça me fait des frissons partout.

Je suis à peine rassurée. Ceci dit, Claire a un corps de rêve, même dans son état, je pense qu’elle ferait bander la quasi totalité des mecs de l’établissement. Le spectacle devra être des plus esthétique, vues l’homme qui lui sert de mari.
D’une main, je balaye toutes ces vilaines images qui traversent mon esprit. Je suis Claire qui se dirige déjà vers le bar. Tous les trois nous reprenons un cocktail puis direction le salon qui nous est réservé.

L’ambiance est feutrée, il fait chaud, mon regard est scotché à ce grand lit en plein milieu de la pièce, aux miroirs qui recouvrent les murs et le plafond. Julien pose une main sur mon épaule, je sursaute, ça les fait rire. Claire me met une claque sur les fesses et m’indique d’un geste de la tête un sofa sur le côté qui semble n’attendre que moi. Bientôt la pièce est inondée d’une douce musique qu’ils ont choisi par internet juste avant de venir.
Un serveur nu, apporte trois autres cocktails. Il m’en offre un avec un clin d’œil.

Rapidement, Claire se retrouve cuisse écartée, allongée sur le dos et Julien la butine entre ses cuisses. Des soupirs et gémissements emplissent rapidement le petit salon. C’est vrai, Claire a raison, j’ai le ventre en ébullition, une bouffée de chaleur semble m’envahir, j’éprouve une terrible envie d’écarter les cuisses aussi et de laisser ma main s’égarer entre mes cuisses.

Julien semble en forme, il est nu, j’admire la musculature de son dos et son bel engin qui pend entre ses jambe, annonçant de belles vocalises pour la Claire. Quelques instants plus tard, cette dernière est à ses genoux et le suce vigoureusement tout en m’envoyant régulièrement des œillades coquines. Faisant mine d’entrer dans leur jeu, j’écarte les pans de mon peignoir et lui montre ma main s’activant sur mon sexe, les deux doigts insérés dans l’entrée de ma moule. Je ne suis pas aussi prude qu’elle le pense. Es-ce que c’est de les voir ainsi qui me donne de l’envie, car depuis un moment, j’ai l’envie baiser, qui me tenaille.

Elle s’en amuse, elle me fait un clin d’œil avant de se remettre à l’œuvre, pompant vigoureusement le pieu de chair de son amour de mari.
Une bonne heure plus tard, je suis toujours en train de mater ces deux pervers. Ils ne cessent de copuler ensemble, essaye même de m’inviter à venir sur ce lit immense pour batifoler avec eux.

Hors de question ! J’aime trop Laurent pour lui faire ça.
– En fait je n’y vais pas, c’est Claire qui vient à moi. Hors, je ne sais pas pourquoi, je ne résiste pas. Elle m’embrasse la poitrine, je sens les doigts de son homme me caresser le clitoris, j’écarte les jambes pour lui laisser la place pour glisser ses doigts, puis il m’embrasse un sein alors que Claire m’embrasse l’autre, ensuite elle descend en embrassant mon corps, une de mes mains la caresse, l’autre caresse le pieu de Julien, alors qu’elle arrive à m’embrasser le petit bouton. Je commence à sucer cette belle queue, Quand elle quitte mon clitoris pour introduire sa langue dans ma chatte, ses doigts s’emparent de mon cul, comme elle a mis un peu de salive, ils entrent sans problème, Julien quitte ma bouche. Je la laisse faire, sa tête entre mes cuisses. c’est agréable, je ne pensais pas qu’une femme puisse me procurer autant de plaisir. Je succombe, elle me procure mon premier manisa escort orgasme de la soirée.

A un moment, ils décident de faire un petit tour aux douches, ils me promettent de revenir sous peu pour le deuxième round. Je rigole à l’idée de leur retour pour de nouveau y aller gaiement. Petit à petits je me laisse à divaguer à ce qu’il vient de se passer, à cette découverte si jouissive.

Le rideau s’ouvre, moi je poursuis ma caresse. Claire et Julien doivent être en train de me mater, de savourer mon petit spectacle. – Savoures ma belle, mais cette fois-ci tu n’auras rien. Une fois, mais pas deux.
– Je t’avais bien dit que c’est elle ? Isabelle, la femme de Laurent. Un vrai boulet son mec. Là ! Il attend une augmentation depuis deux ans. Cette fois je l’ai envoyé à l’autre bout du pays et que voit-on ? Sa femme suce un mec pendant que sa gonzesse lui bouffe la chatte. Tout ça, quand monsieur travaille.
– Une vraie salope sa grognasse. Toutes les mêmes. Tu crois qu’elles t’attendent et en fait elles te font cocu.

Horreur, c’est qui ? ! Merde ! Deux voix de mecs et pas du tout celles de Claire et Julien ! Face à moi, deux hommes à poil, se branlant tout en me regardant me doigter, cuisses écartées, les yeux fermés, bercé par la musique douce en attendant mes hôtes.
– Vous êtes qui ? Sortez, c’est un salon privé ici !
– Doucement ma jolie. D’abord t’es toute seule, on est juste rentré pour faire la causette et en plus on se connaît. Je pense qu’on pourrait faire plus ample connaissance.
– M’enfin ! Je…
– Moi c’est Éric ! Je suis le patron de votre mari, vous savez, celui qui bosse dur pendant que sa petite femme s’amuse avec une femme enceinte et son mari.
– Je ne vous permets pas ?

Je me prend une claque de la part du vieux. Éric ayant une petite cinquantaine, l’autre doit bien en avoir vingt de plus. Il est gras et bedonnant alors que le soit-disant Éric à un corps d’athlète et pue le déodorant.
– Doucement grognasse. On parle pas à mon fiston comme ça. S’il te dit que c’est le patron de ton homme, c’est que c’est vrai. Et là, vu ce qu’on voit, je ne pense pas que tu sois en mesure de faire la femme effarouchée.
– Que me voulez-vous ?
– C’est simple non ? Faire de plus ample connaissance. Ça pourrait aider votre mari d’être dans les petits papiers du patron, non ? Papa s’ennuyait chez lui, alors je lui ai dit de venir s’amuser un peu avec moi ici aussi disons que votre présence me ravie.
– Je ne suis pas celle que vous imaginez, enfin, je suis…
– Oh ta gueule ! Tu nous emmerdes. On t’a chopé la main entre les cuisses, donc à présent c’est clair : Soit tu te laisses faire, ainsi on passe un bon moment ensemble, soit les photos que l’on a prises de toi suçant un mec pendant que sa copine est en train de te bouffer la chatte et on entend bien ta petite gueule d’ange faire de belles vocalises. Soit que ses photos finissent sur le bureau de mon garçon et ton mari va faire la gueule. Tu crois qu’il voudra garder une traînée comme toi ? Allez ne fais pas ta pucelle, on va jouer un peu ensemble alors profites d’avoir deux beaux mecs comme nous sous la main.

J’en reste bouche bée. Le vieux vient de me sortir cette tirade sans même sourciller, tout en se branlant. A présent, il est tout près de moi, il semble vouloir me mettre son gros sexe tout violacé dans la bouche. Éric renchéri à la suite de son père.
– Juste une petite soirée pour égayer la triste vie de mon papa, personne n’en saura rien. Tu as deux secondes pour réfléchir. Soit tu suces papa Paul, soit ton chéri aura nos photos lundi. Ça tombe bien, en rentrant de son déplacement, il doit me faire un compte rendu en salle de réunion avec tous ses collègues, t’en connais certains. Ils vont adorer te voir en train de jouir, t’en pense quoi ?

Il m’est impossible de répondre à ça ? Je n’ai pas le choix. J’en rage, aussi, je peine à ouvrir la bouche face à ce sexe immonde. Un gros truc un peu tordu avec un gros gland hideux. La bite est courte, hors le diamètre est impressionnant.

Voyant ma réticence, Éric prend une ceinture de peignoir et s’en sert pour me bander les yeux. Il me prend les poignets, il me les plaque dans le dos tandis que Paul me prend la tête à deux mains et enfonce sa bite dans ma bouche que j’ouvre non sans avoir des hauts de cœur.

Je suçote la bite du vieux tandis que son fiston se plaque à mon dos, il me tripote les seins. Quelques minutes plus tard, je me retrouve les bras attachés à la tête de lit, les cuisses écartées en l’air. Le vieux entre mes cuisses cherche à me pistonner. Je rechigne de plus belle ce qui l’agace, Éric me gifle violemment.

N’arrivant mardin escort pas à leurs fins, ils finissent par me détacher, j’entends distinctement des personnes circuler dans le couloir. Je me sens bien seule face à ces deux vicieux. Le Paul s’enfonce dans mon puits d’amour. Je crie autant de douleur que de surprise. Je gesticule, je le désarçonne, le gros s’écroule à côté de moi, il pose ses mains sous mes fesses, me soulève vigoureusement. Il me remet en place pour recommencer dans une autre position avec lui.

Éric est à genoux à mes côtés. Il prend ma chevelure dans une main et me tire la tête en arrière tout en se rapprochant de mon oreille.
– Tu vas le regarder et lui dire distinctement et fort : – S’il vous plaît, baisez-moi, je suis votre salope.

Nos regards se croisent, c’est lourd et froid. Je comprends immédiatement qu’il va falloir obéir sans rien dire. Heureusement que Claire n’ait pas très loin. Le cauchemar va bientôt se terminer.
Éric me lâche, il me donne une petite gifle.
– Vas-y ! Maintenant.

Il se relève et va s’asseoir sur le sofa, il se masturbe, il nous regarde. Je suis avachie, les coudes sur le lit, des larmes au visage, sur mes genoux et les cuisses largement écartées, le cul en l’air. Le Paul au regard vicieux tiens sa bite épaisse. Il est tout rouge et prêt à m’embrocher, n’attendant qu’une chose, ma soumission la plus totale.

Claire et Julien vont arriver, ça va changer la donne ? Éric me regarde avec insistance. Je dois y aller où je vais me reprendre une autre baffe.
– Vas-y Paul. Défonces-moi, baises-moi, Ce soir, je suis ta salope.
– Tu n’as pas dit s’il vous plaît. Recommence !

Fait chier ce Éric. S’il n’était pas le patron de Laurent ? Je ne peux pas lui faire ça. Il attend cette promotion depuis si longtemps.
– Ce soir et c’est tout. Après on ne se reverra plus jamais et Laurent aura son augmentation ?
– Jurée ma belle !

J’ai honte. Je baisse la tête. Milles images traversent mon esprit. Laurent, sa chambre d’hôtel, mes filles, ma copine, son mari, ma vie bien rangée. Reprenant ma respiration, je ravale mes larmes et respire à fond, cherchant une once de courage. C’est bientôt fini me dis-je. Je me retourne avec le sourire en prime, je regarde le visage de l’affreux Paul.
– S’il vous plaît, monsieur, baisez-moi ? Ce soir je suis votre salope !

Je sors la tirade sans accroche, d’une seule traite, je ne vois pas le rideau qui vient de s’ouvrir. Je me retourne prestement pour voir le visage ébahi de Claire, une main sur son ventre rond et l’autre sur sa bouche, comme abasourdie de me voir, dans cette situation dès qu’ils ont eu le dos tourné.

Julien, avec un verre de cocktail à la main, me regarde avec un grand sourire. – C’est pour toi ma jolie ! Il pose le verre sur le guéridon et referme le rideau, il tire sa femme en arrière. Je l’entends dire à sa femme, qu’ils s’en vont, que c’est mieux comme ça. Tout se passe très vite et avant même que je puisse ouvrir la bouche, Paul me tire à lui et m’enfonce son gourdin jusqu’à la garde. Immédiatement, mon corps réagit par un râle, suivi d’un mouvement nerveux incontrôlé, mettant ma tête en arrière, ouvrant la bouche et fermant les yeux. Je manque de m’étouffer, quand j’ouvre enfin les yeux, c’est pour voir le rideau retomber sur le visage de ma copine Claire, écœurée par le spectacle que je lui donne.

Je perds tout espoir de secours de sa part. Paul est déjà en train de se retirer pour mieux me pilonner. Éric choisit cet instant pour se relever et me donner sa queue à sucer. C’est un bel engin long et fin avec le même gland rond et gros que son père.
Le vieux se déchaîne en moi tandis qu’Éric me soutient tout en me baisant la bouche. En quelques minutes, le vieux se retire et laisse la place à son fils.
– Écartes un peu tes fesses, je n’arrive pas à trouver ta chatte.
– Tien ma belle ? Un sucre d’orge pour l’ami dalle.

Éric rigole de la connerie de son père. Je n’y comprends rien et de toute façon, j’ai hâte que ça se termine.
J’écarte mes fesses comme demandé et j’attends qu’il me pénètre. De toute façon, après son père, sa queue je ne vais pas trop la sentir. Elle a beau être longue, seule le gland est un peu impressionnant. Pour le reste ?
Le vieux me baise la bouche plus que je le suce, il est rouge comme une écrevisse.

Le fiston me baise bien pendant que je suce le père. Malgré moi ? Je commence à prendre du plaisir à me faire baiser.
Soudain, une douleur m’irradie brutalement. Éric vient de m’enculer, m’enfilant d’une traite, sans prévenir, sans préliminaire. Au même moment, Paul décharge son foutre sur ma langue.

Je gargouille ma douleur, j’avale d’une traite le sperme du vieux. Puis, je me jette en avant pour rejeter l’ignominie que vient de me faire son fils. Éric me suit et s’écroule sur mon dos. Je suis empalé par sa colonne de chair, j’ai l’anus en feu, ça me brûle, c’est douloureux.

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Un Petit Couple Modèle

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Babes

La jeune femme regardait les livres sur le présentoir, ne recherchant pas de titres en particulier. Juste à coté d’elle, un couple de sexagénaires discutait d’un ouvrage. Ils étaient déçus de ne pas le trouver là et hésitaient entre le commander ou changer de boutique.

C’est alors qu’un jeune homme, qui s’était tenu un peu en retrait jusque-là, s’approcha d’eux d’un pas hésitant.

Regardant la jeune femme, il lui dit.

– Bonjour mademoiselle, je vous observe depuis tout à l’heure et je voulais vous dire que je vous trouvais très belle.

La sexagénaire, en entendant cela, cessa de discuter avec son mari pour écouter la réponse de la fille. Elle avait été surprise par l’aplomb du jeune homme et se demandait comment elle allait réagir.

– Merci, vous aussi vous êtes pas mal, je m’appelle Camille et je suis enchantée de vous connaître.

– Moi c’est Romain, que diriez-vous de venir avec moi, je connais un petit endroit sympa où nous pourrions faire plus ample connaissance.

Le couple de sexagénaires ouvrit de grands yeux en entendant la discussion. Ils se dirent qu’elle allait l’envoyer sur les roses et furent encore plus surpris lorsque les deux jeunes sortirent de la boutique en se tenant la main.

– J’hallucine, dit la femme, elle a accepté de le suivre, tu as vu ça Maurice!

– Et dire que moi j’ai dû patienter six mois juste pour que tu daignes aller au cinéma avec moi, bougonna l’homme.

Leur discussion s’arrêta net lorsqu’ils virent les deux jeunes s’embrasser de l’autre côté de la vitrine.

– Dans quel monde on vit, fit la femme choquée par la façon dont le garçon avait dragué la fille.

À l’extérieur, les deux jeunes montèrent dans une vieille Peugeot, laissant le couple de vieux se remettre de la scène.

Dans la voiture, Camille éclata de rire

– La tête qu’ils ont faite quand tu m’as abordé

– C’était peut-être un peu trop direct

– Moi j’ai kifé

Le couple adorait faire semblant de ne pas se connaître, s’accostant comme s’il s’agissait de la toute première fois. Ils avaient tous les deux 21 ans et se connaissaient depuis très longtemps vu qu’ils avaient grandi ensemble.

Leurs parents respectifs étaient non seulement voisins mais en plus la mère de Camille avait été pendant longtemps la nounou de Romain.

C’est à 17 ans qu’ils s’étaient embrassés pour la première fois et à vingt ans ils s’étaient mariés pour le plus grand bonheur des parents qui étaient depuis longtemps de très bons amis.

Cela faisait maintenant huit mois qu’ils étaient passés devant Monsieur le maire et même s’ils ne roulaient pas sur l’or, ils étaient heureux comme ça. Lui travaillait en tant que magasinier dans une société de logistique alors qu’elle servait dans une boulangerie à proximité de leur appartement. Romain était le seul à avoir le permis de conduire mais ils utilisaient la vieille voiture uniquement pour faire les courses, le restant de leurs déplacements se faisant en transport en commun.

On était le 3 juillet et c’était leur premier jour de vacances. Ils n’avaient encore rien prévu tout en sachant qu’il ne devait pas rester grand-chose à louer mais ils n’étaient pas inquiet.

Le soir venu, après avoir souper, ils passèrent presque deux heures sur leur PC portable pour trouver un endroit sympa sans se ruiner. Ce n’était pas évident mais ils réussirent à trouver une maison d’hôtes, près d’un lac dans le jura qui avait encore deux chambres de libre.

Ils se rendirent compte tout de même qu’il y avait une raison pour laquelle ces deux hébergements étaient toujours disponibles. Il s’agissait de chambres pour une seule personne équipées toutes les deux d’un lit de 90.

– Ça ne va pas le faire, dit finalement Camille. Il faut que l’on trouve autre chose.

– Tu as raison….

Romain avait hésité un peu en répondant. Camille qui connaissait par cœur son jeune époux, le regarda en souriant.

– Dis-moi a quoi tu penses. Tu as la tête de celui qui va faire une bêtise.

– Même pas, mais si on y allait… sans se connaître.

– Comment ça.

– On y va tous les deux sous de faux noms, on ne se connaît pas et là-bas, je te drague comme un fou.

Camille rigola.

– Ça ne te passera jamais. Tu aimes bien ce jeu

– Pas toi?

– Si, c’est sympa. Dès qu’on arrive là-bas on ne se connaît plus.

Le garçon réfléchit un instant. Il avait envie d’épicer un peu leur jeu favori.

– Demain on a un train à 08h12 et on a quatre heures de voyage. Ce soir, on fait chacun nos valises et on ne se connaît plus dès que l’on est à la gare. Peut-être que je commencerais à te draguer dans le train.

– Tu es cinglé mais d’accord. Vas-y, réserves pour trois nuits pour toi, moi je le ferais après pour qu’ils ne se doutent de rien.

– Tu aurais eu un téléphone tu aurais pu le faire en même temps

– Sauf que j’ai horreur des portables. Ça envoie des ondes néfastes et ça ne sert à rien.

Romain sourit, sa femme était peut-être la seule personne en France à ne pas avoir de téléphone rize escort portable.

Une fois les réservations passées et les billets de train achetés, ils allèrent se coucher heureux de leur décision. Lorsqu’ils seraient arrivés à destination, ils avaient vu que la maison n’était pas très loin de la gare et qu’ils n’auraient pas trop longtemps à marcher.

Romain, en rentrant dans le lit juste habillé de son caleçon, était excité à l’idée de jouer à leur jeu de façon plus poussé. Sa jeune femme, comme à son habitude, vint se coucher malgré la chaleur avec une longue chemise de nuit digne de ses grands-parents. Elle avait un corps magnifique mais elle n’aimait pas dormir nue pour le plus grand désespoir de son jeune mari.

– Déshabille-toi, j’ai envie de toi, lui souffla-t-il à l’oreille

– ce soir?

– S’il te plaît, vu que demain on ne se connaît plus, laisse-moi te faire l’amour ce soir.

Camille finit par céder même si elle n’était pas trop accroc à ça. Contrairement à ce que lui racontaient ses copines qui trouvait ça génial, elle, pour ne pas faire de la peine à Romain, se forçait à gémir pour lui faire plaisir.

Elle aurait tellement aimé qu’il prenne son temps en la caressant ou en l’embrassant longuement avant l’acte mais il était tellement pressé que les préliminaires étaient toujours bâclés et il éjaculait toujours très vite en elle.

Souvent, après l’acte, elle avait dû se caresser pour avoir du plaisir mais elle aimait Romain et ne voulait pas lui déplaire. Elle n’avait d’ailleurs jamais osé aborder le sujet avec lui de peur de le vexer pensant que toutes les femmes devaient avoir le même genre de problème.

Ce soir-là, Romain caressa un peu plus longuement le corps de sa jeune femme lui procurant un début de plaisir. Lorsqu’il s’allongea sur elle, elle espéra avoir le fameux orgasme dont lui parlait sa copine mais son mari, trop excité, jouit seulement après quelques va-et-vient

Ne lui demandant même pas si elle avait trouvé du plaisir, il l’embrassa sur la bouche avant de se retourner pour dormir.

****

Romain trouvait Camille magnifique dans sa petite robe d’été qui mettait son corps en valeur. Le petit vêtement lui allait au-dessus des genoux et le petit décolleté mettait sa petite et adorable poitrine en valeur.

Elle se tenait à l’autre bout du quai, son sac de voyage à même le sol, attendant comme lui le train. Lui, habillé d’un bermuda et d’un t-shirt, se tenait à une dizaine de mètres d’elle et essayait de ne pas trop la regarder.

Il n’y avait pas trop de monde malgré que l’on soit en juillet et cela était sûrement à cause de l’horaire matinal du TER.

Beaucoup d’hommes regardaient Camille tant cette dernière était belle et bizarrement, cela ne dérangea pas Romain qui fut même fier que ce soit sa femme.

Lorsque le train arriva, ce fut Camille qui rentra avant lui, choisissant une banquette vide se trouvant dans le sens de la marche. Mettant son sac à ses pieds, elle regarda dehors comme si de rien était.

Romain, choisit la banquette de l’autre côté du couloir, lui souriant en s’y installant.

Camille jouait bien son rôle car elle le regarda rapidement sans laisser paraître le moindre sentiment.

Le jeune homme décida d’attendre que le train démarre pour aller à coté d’elle et la draguer un peu. Normalement, ils s’étaient mis d’accord de ne rien faire avant d’être arrivé à la maison d’hôtes mais elle était tellement jolie qu’il n’avait pas envie d’attendre.

– La place est libre?

Romain sursauta car un homme d’une quarantaine d’année, élégamment vêtu, venait de demander à s’asseoir à coté de sa femme.

– Oui, je n’attends personne.

– Merci

Les projets de draguer sa femme durant le trajet venaient de tomber à l’eau à moins que l’homme ne descende lors des prochains arrêts.

Ce qui le gênait le plus Romain était de ne plus voir sa femme qui, étant du côté

de la fenêtre, était masquée par l’homme. La seule chose qu’il pouvait apercevoir était ses jambes et seulement lorsqu’il se penchait un peu.

C’est alors qu’il remarqua qu’en s’asseyant, la petite robe était remontée un peu et qu’elle ne cachait plus qu’une moitié de ses jolies cuisses.

Depuis qu’ils étaient mariés et même lorsqu’ils étaient plus jeunes, aucun garçon n’avait été aussi prêt de sa bien-aimée. Il était juste de l’autre côté du couloir et pourtant il ne pouvait rien faire pour éloigner cet homme.

Prenant un livre dans son sac, il décida de faire semblant de lire pour paraître occupé. Il avait bien l’intention d’écouter tout ce qu’ils diraient quitte à intervenir s’il le jugeait nécessaire.

Lorsque le train se mit en marche, Romain fut à deux doigts de demander à l’homme d’échanger sa place avec lui en lui expliquant qu’il était le mari. Pourtant il ne fit rien de peur de déplaire à sa femme qui avait décidé de jouer le jeu.

Restant du coup immobile, il finit par se détendre en se rendant compte que l’homme restait silencieux.

Cela sakarya escort faisait une trentaine de minutes que le train roulait lorsque l’homme sortit de son sac un paquet de gâteaux. Le tendant à Camille, il lui demanda si elle en voulait un.

Romain connaissait la gourmandise de sa femme et ne fut pas étonné lorsqu’il l’entendit le remercier après en avoir pris un.

– Je m’appelle Marc. Vous êtes en vacances?

– Heu oui, je vais passer quelques jours dans le Jura.

– Seule?

– Heu! oui

L’homme mit quelques secondes avant de demander.

– En prenant le gâteau, j’ai remarqué votre alliance. Vous êtes mariée?

La jeune femme fut décontenancée par la question de l’homme. Ne sachant trop quoi dire elle finit par donner une explication qui fit tressaillir Romain.

– Je suis en train de divorcer.

– Quoi, mais vous êtes si jeune!

– C’est que… Il me battait.

Romain en entendant ça fut à deux doigts d’intervenir pour proclamer que c’était un mensonge avant de réaliser qu’elle jouait un jeu. Du coup, il se calma et finit même par admirer l’imagination de la jeune femme.

L’homme, d’un ton compatissant, lui répondit

– J’espère que vous avez porté plainte, c’est inexcusable de sa part surtout qu’une aussi jolie femme ne mérite que du bonheur.

Tout en disant cela, il posa sa main sur la cuisse de Camille, la faisant sursauter. Son manque d’expérience avec les garçons l’empêcha de réagir comme elle l’aurait dû.

Elle n’osa pas appeler à l’aide son mari qui n’avait pas dû voir la scène. Jamais encore elle ne s’était retrouvée devant ce genre de cas et elle se demanda quoi faire.

– J’espère que je ne vous ai pas choquée en vous disant que vous étiez belle mais je suppose que tout le monde vous le dit.

– Heu! non

– Votre mari est un monstre de s’en être pris à vous mais vous êtes jeune et vous allez sûrement retrouver très bientôt un beau prince charmant.

Tout en disant ça, il s’était mis à lui caresser le dessus de sa cuisse après avoir constaté qu’elle n’avait pas réagi lorsqu’il l’avait touchée.

Bizarrement, Camille en sentant la main de l’homme glisser sur sa peau, fut prise d’un plaisir étrange et aima cette sensation. Elle n’avait encore jamais ressenti ça avec Romain qu’elle connaissait depuis qu’elle était en âge de marcher.

Tout en appréciant les petites caresses, elle adora encore plus entendre les compliments de l’homme.

C’est vrai que souvent, son mari lui disait qu’elle était belle, mais c’était plus par habitude que venant du fond du cœur. Là, le compliment venait d’un étranger et elle trouva cela beaucoup plus flatteur.

Romain, ne bougeait pas, réalisant que l’homme draguait sa femme. Étrangement, il se rendit compte qu’il n’était pas jaloux mais plutôt excité. Il ne pouvait pas voir son épouse mais imaginait son visage crispé ou gêné. Il savait qu’elle le laissait parler pour ne pas interrompre leur jeu et fut admiratif de son courage car ce ne devait pas être évident pour elle.

Voulant l’apercevoir, il imagina un stratagème. Il décida de se rendre au bout du wagon comme pour aller aux toilettes et ensuite de revenir pour la voir. En se levant, il essaya de ne pas les regarder pour ne pas attirer l’attention sur lui et se dirigea vers le fond.

Il s’enferma quelques minutes dans les WC pour que cela paraisse plausible avant de ressortir.

Lorsqu’il fut de nouveau dans le wagon, se dirigeant vers sa place, il put voir son visage qui le fixait et fut surpris par son expression.

Dans ses yeux il put y lire comme de l’incompréhension, comme si elle ne savait plus quoi penser. L’homme continuait à lui parlait mais il était trop loin pour entendre ses paroles.

C’est lorsqu’il fut à leur niveau et juste avant de se rasseoir qu’il vit la main en train de caresser la cuisse de sa petite femme. Abasourdi et surpris à la fois, il stoppa net dans son mouvement.

Elle était comme figée alors que les doigts de l’homme glissaient presque sous sa petite robe pour la tripoter en toute impunité.

Il aurait pu dire quelque chose, faire stopper l’homme, intervenir mais au lieu de ça, il se rassit à sa place sans un mot, laissant l’homme continuer de tripoter sa chérie.

Camille, en voyant son amour se rendre compte qu’elle se faisait caresser, eut la plus grande honte de sa vie et crut qu’il allait faire un scandale. Pourtant il ne dit rien et cela la décontenança.

Est-ce que cela faisait partie du jeu ou considérait-il que cela n’était pas si grave que ça…

En fait, Romain ne savait plus quoi penser, ni même quoi faire. Il était fou amoureux de sa femme et pourtant il était excité de la savoir contre cet homme qui abusait un peu de la situation. Il se rendit compte qu’il avait un début d’érection et comprit alors qu’il aimait savoir sa femme dans cette posture.

De toute façon, elle ne risquait rien car ils étaient juste à coté de lui et à part la caresser il ne pouvait rien faire d’autre.

– Tu samsun escort descends à quelle gare, lui demanda alors l’homme.

Le jeune homme, en entendant le voisin tutoyer sa femme, sentit son excitation monter d’un cran. La barrière du vouvoiement étant tombée, l’homme venait de faire un pas supplémentaire vers la promiscuité avec sa femme.

Camille, un peu perdue, lui donna le nom de la ville de leur destination faisant s’exclamer l’homme.

– Mais c’est là que je vais aussi. Le train arrive vers 12h30. Si tu veux, je t’invite à manger.

– C’est gentil, mais je ne peux pas. Je suis attendue. J’ai réservé une chambre dans une maison d’hôte.

– Tu as réservé aussi pour le dîner?

– Non mais!

La jeune femme se rendit compte qu’elle aurait dû dire oui et qu’elle allait avoir du mal à trouver une excuse.

– On mange et je t’emmène ensuite là où tu as réservé. C’est comment les noms des propriétaires?

– Mr Hauson Franck.

– Je le connais, c’est un copain, je t’y emmenais après manger.

Romain qui écoutait la conversation était lui aussi dans le doute. Tant qu’ils restaient dans le train, il pouvait les surveiller et intervenir mais là, s’ils partaient tous les deux, il allait falloir qu’il les suive de près, quitte à manger dans le même restaurant.

Pourtant, jamais encore le jeu ne l’avait autant excité. De savoir sa femme dans cette situation était étrange et il aimait ça. Cela mettait un peu de piment dans leur vie même si ça ne faisait que huit mois qu’ils étaient mariés.

L’heure qui suivit fut plutôt calme, malgré le fait que l’homme ait réitéré sa demande pour le repas plusieurs fois. Voyant que la jeune femme préférait ne pas répondre, il avait fermé les yeux et faisait celui qui dormait.

À un moment, le quarantenaire se leva pour aller soulager sa vessie, laissant Camille seule sur sa banquette. Lorsqu’il eut disparu du wagon, la jeune femme se retourna vers Romain, complètement dépassée par les événements.

– Je fais quoi? il veut m’inviter à manger, lui demanda-t-elle en se penchant vers lui pour ne pas crier.

– Je ne sais pas, tu n’as qu’à dire oui. De toute façon je vais vous suivre et je prendrais une table juste à coté de vous.

– Tu es sûr?

– Oui, ou si tu préfères dire non.

– Je ne sais pas, ok, je vais dire oui. Mais tu ne restes pas loin.

– Promis

La jeune femme eut envie de rajouter que l’homme n’arrêtait pas de lui toucher la cuisse mais se ressaisit. Après tout il ne faisait rien de mal et Romain l’avait bien vu faire en revenant des toilettes.

Du coup elle se repositionna à sa place et ferma les yeux comme si elle dormait.

Ces quelques mots avec son chéri l’avaient rassuré. S’il donnait son feu vert et si l’homme le lui redemander, elle accepterait l’invitation à manger.

Lorsque Marc revint des toilettes, en voyant la jeune femme endormie, il ne put s’empêcher de l’admirer. Cette petite était vraiment canon et il avait envie d’elle-même si cela risquait d’être difficile. Un petit sourire illumina son visage en l’imaginant à une de ses soirées mais ce n’était pas gagné.

En s’asseyant à sa place il lui posa de nouveau la main sur la cuisse la faisant tressaillir. Il savait très bien qu’elle faisait semblant de dormir et le fait qu’elle se laisse toucher sans rien dire était très prometteur.

Elle resta les yeux fermés durant une bonne partie du trajet, la tête tournée vers la fenêtre mais cela ne gêna pas l’homme qui garda sa main sur elle.

Il s’amusa même à la faire glisser sous la petite robe, remontant le plus haut possible sans qu’elle ne réagisse et l’envie de posséder ce jeune corps augmenta encore plus.

Romain, qui s’était finalement vraiment plongé dans son bouquin, fut rassuré de ne plus les entendre, pensant que l’homme n’allait pas réitérer sa demande pour manger.

Le temps finalement passa relativement vite et 30 minutes avant d’arriver, Camille fit semblant de se réveiller. Elle avait eu du mal à rester immobile alors que l’homme n’avait pas cessé de la tripoter, la mettant dans tous ses états. Elle savait que Romain n’avait rien vu et cela la rassurait.

– Bien dormi

– Heu, oui, je me suis assoupie.

L’homme le regarda et prenant son plus beau sourire ; il lui demanda

– On arrive bientôt, vous ne m’avez pas répondu pour le repas. Je vous invite si vous le désirez. Ensuite, je vous raccompagnerais à votre maison d’hôtes.

– Bon d’accord, si vous insistez.

D’avoir l’accord de son mari avait libéré la jeune femme qui parut plus assurée dans ses propos.

– Génial, vous allez vous régaler.

Lorsque le train entra en gare, Romain était prêt à les suivre. C’était comme dans un film d’espionnage et il ne devait pas se faire repérer.

Le quai était bondé de monde et le jeune homme laissa quelques voyageurs entre le couple et lui. Il lui suffisait de les suivre d’un peu loin et de rentrer dans le restaurant une minute après eux pour que ce soit plausible.

Lorsqu’il les vit se diriger vers le parking où des dizaines de véhicules étaient garés, il eut d’un seul coup très peur. Pas une seconde, il n’avait pensé que l’homme, qui était du coin, ait pu garer sa voiture à la gare. Il réalisa alors que s’ils montaient dans une auto, il serait d’en l’incapacité de les suivre.

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